PARIS - PAYOT - 1927
INTRODUCTION.
Les conditions
économiques ; la réglementation traditionnelle. — Les courants nouveaux :
économistes et physiocrates. — La crise de l’année 1789. — La Constituante et
la vie chère. — Réglementation ou liberté ?
PREMIÈRE PARTIE. — LA GIRONDE ET LA VIE CHÈRE. CHAPITRE PREMIER. —
LA CRISE DU SUCRE EN 1792.
Les causes du
renchérissement. — Les troubles. — Les remèdes à la crise — La diversion
jacobine.
CHAPITRE II. — UN ESSAI DE TAXATION POPULAIRE AU PRINTEMPS DE 1792.
La crise du pain et ses causes.
L'inflation. — Les troubles alimentaires. — Lu répression et les remèdes. —
Les premiers théoriciens de la taxation. Dolivier. Robespierre.
CHAPITRE III. — UN ESSAI DE RÈGLEMENTATION PENDANT LA PREMIÈRE INVASION
(septembre-décembre 1792).
Les conséquences du 10
août. — La proclamation du 4 septembre 1792 et ses suites. — Les lois des 9
et 16 septembre 1792. — La « loi agraire ». — La politique girondine Roland.
— Le soulèvement ouvrier et paysan de l’automne de 1792. — La suppression de
la réglementation. — Les- causes de l’échec.
SECONDE PARUE. — LES ENRAGÉS ET LA VIE CHÈRE. CHAPITRE PREMIER. —
LES ENRAGÉS ET LA LUTTE POUR LE MAXIMUM
(janvier-février 1793).
La hausse des prix et
les salaires. — Le mouvement populaire- contre la liberté économique. —
Jacques Roux et Varlet. — Le programme des Enragés.
CHAPITRE II. — UN ESSAI DE TAXATION POPULAIRE À PARIS EN FÉVRIER 1793.
La pétition du 12
février 1793- — Les troubles de la Fin de février 1793. — L’embarras dos
Jacobins. — La manœuvre de Marat. — La répression. — Le programme de
Chaumette et de la Commune.
CHAPITRE III. — LE VOTE DU PREMIER MAXIMUM (avril-mai 1793).
La situation on mars
1793. — Evolution de la politique des Montagnards. — Le pain à trois sous,
Sébastien Lacroix et Danton. — Cambon et le cours forcé de l’assignat. —
L’agitation dos Enragés en avril 1793. — La discussion et le vote du maximum
des grains. — Pourquoi les Montagnards ont accepté le maximum.
CHAPITRE IV. — L’APPLICATION DU PREMIER MAXIMUM (mai-juillet 1793).
CHAPITRE V. — LES ENRAGÉS CONTRE LA CONSTITUTION 1793 (juin 1793).
La situation
gouvernementale. — Claire Lacombe et les républicaines révolutionnaires. —
Théophile Leclerc. — Le programme des Enragés après la chute de la Gironde. —
La résistance des Montagnards. — Hébert contre les Enragés, — Jacques Roux
veut compléter la Constitution.
CHAPITRE VI. —
LES ENRAGÉS ET LES TROUBLES DU
SAVON (juin 1793).
Jacques Roux organise
la résistance. — Les désordres à Paris. — La discussion du maximum général à
la Convention. — Jacques Roux aux Cordeliers. — La Commune et les troubles. —
Robespierre dénonce Jacques Roux aux Jacobins. — Jacques Roux renié par les Cordeliers.
CHAPITRE
VII. —
LA
MORT DE MARAT ET LE VOTE DE L'ACCAPAREMENT (juillet 1793).
Les décrets des 1er et 5 juillet 1793. — Jacques Roux et Marat. — Le
meurtre de Marat et ses conséquences. — Leclerc et Roux continuent le journal
de Marat. — Recrudescence de disette. — Billaud-Varenne fait voter la loi
contre l'accaparement. — Les vœux des assemblées primaires. — Le mouvement
contre le maximum.
CHAPITRE VIII. —
L’AGITATION SECTIONNAIRE À
PARIE EN AOÛT 1793. - L’AFFAIRE CAUCHOIS.
L’administrateur des
subsistances Garin. — Cauchois et l’agitation des sections. — L’action
parallèle de Jacques Roux et de Leclerc. — Projets de septembrisade. — Hébert
évolue. — Robespierre contre les Enragés. — L’agitation à la fin d’août. — La
répression.
CHAPITRE IX. — LES GRENIERS D'ABONDANCE ET LA RÉQUISITION GÉNÉRALE (août
et septembre 1793).
Le projet de Léonard
Bourdon. — Le projet de Chabot. — La loi sur les greniers d’abondance. — La
carte de pain. — Les missions pour l'approvisionnement de Paris. — La levée
en masse. — La réquisition générale. — Le maximum dos combustibles et de
l'avoine. — La loi du Il septembre 1793. — Les raisons de la Convention.
CHAPITRE X. — L’INAUGURATION DE LA TERREUR
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