PARIS - HACHETTE - 1921.
CHAPITRE I. — LES PREMIÈRES ANNÉES.CHAPITRE II. — BONAPARTE EN ITALIE.CHAPITRE III. — BONAPARTE EN ÉGYPTE.CHAPITRE IV. — LE DIX-HUIT BRUMAIRE.CHAPITRE V. — LA FRANCE NOUVELLE.CHAPITRE VI. — LA PAIX D'AMIENS.CHAPITRE VII. — LE CONSULAT À VIE.CHAPITRE VIII. — NAPOLÉON EMPEREUR DES FRANÇAIS.CHAPITRE IX. — LES INSTITUTIONS DE L'EMPIRE.CHAPITRE X. — LE CAMP DE BOULOGNE.CHAPITRE XI. — AUSTERLITZ, IÉNA, FRIEDLAND.CHAPITRE XII. — MADAME MÈRE.CHAPITRE XIII. — LES FRÈRES DE NAPOLÉON.CHAPITRE XIV. — LES SŒURS DE NAPOLÉON.CHAPITRE XV. — NAPOLÉON ET JOSÉPHINE.CHAPITRE XVI. — LA COUR IMPÉRIALE.CHAPITRE XVII. — LA CIVILISATION DE L'EMPIRE.CHAPITRE XVIII. — LES PREMIÈRES RÉSISTANCES NATIONALES.CHAPITRE XIX. — L'EMPIRE VERS 1810.CHAPITRE XX. — LA CAMPAGNE DE RUSSIE.CHAPITRE XXI. — LA CAMPAGNE D'ALLEMAGNE.CHAPITRE XXII. — LA CAMPAGNE DE FRANCE.CHAPITRE XXIII. — LES CENT JOURS.CHAPITRE XXIV. — SAINTE-HÉLÈNE.PRÉFACE.LE 2 OCTOBRE 1920 L'occasion du centenaire de la mort de Napoléon Ier, M. G. Lacour-Gayet a entrepris de dresser un monument historique à la mémoire du grand Français qui s'éteignit le 5 mai 1821 sur le rocher de Sainte-Hélène. Cet ouvrage, dont le mérite est garanti d'avance par tout le passé de l'auteur, constitue un hommage digne du nom prestigieux inscrit à la première page. Les documents iconographiques[1] y abondent, en grand nombre inédits ; ils seront appréciés de tous ceux qui s'intéressent aux reliques napoléoniennes. Cette publication s'inspire d'une idée pieuse et, à tous les points de vue, elle vient à son heure. Cent ans après sa mort, le moment est favorable pour rappeler, dans son ensemble, l'œuvre de ce grand soldat qui fut aussi un grand organisateur, et à qui nous devons toute l'armature de notre société moderne. Maintenant que sa silhouette s'estompe dans le lointain du passé, elle n'en apparaît que plus formidable. Au lendemain de la terrible guerre dont nous sortons, il était juste également que la pensée de tous les Français se tournât, pour lui rendre un tribut d'admiration, vers celui qui nous a valu tant de victoires ; car les principes formulés par son génie sont éternellement vrais, et, malgré les apparences, c'est leur application qui vient encore de nous conduire au triomphe. Maréchal Joffre. |