PARIS - ARMAND COLIN - 1910
CHAPITRE PREMIER. —
LES PHILOSOPHES ET LA SÉPARATION DE
L’ÉGLISE ET DE L’ÉTAT. CHAPITRE II. —
LA LECTURE DES DÉCRETS AU PRÔNE. CHAPITRE III. — ROBESPIERRE ET LA DÉCHRISTIANISATION. PREMIÈRE PARTIE
I. - La thèse de M.
Aulard : Robespierre hostile à la déchristianisation pour des raisons
religieuses qu'il voile hypocritement de motifs politiques. — II. - La
déchristianisation a été l'œuvre des Indulgents autant que celle des
Exagérés. — III. - Robespierre se défend en attaquant.
SECONDE PARTIE
IV. - Robespierre
défend les Hébertistes contre les accusations de Chabot.
CHAPITRE IV. —
LE RÉGIME LÉGAL DES CULTES SOUS LA
PREMIÈRE SÉPARATION. CHAPITRE V. —
LES THÉOPHILANTHROPES ET LES AUTORITÉS À
PARIS SOUS LE DIRECTOIRE. CHAPITRE VI. —
LE CULTE PRIVÉ ET LE CULTE PUBLIC SOUS
LA PREMIÈRE SÉPARATION. CHAPITRE VII. —
LA VEILLE ET LE
LENDEMAIN DU CONCORDAT DE 1802. |