PARIS - ÉDITIONS DE LA LIBRAIRIE DE L'HUMANITÉ - 1923
LIVRE PREMIER. —
L'OPPOSITION POLITIQUE ET CLÉRICALE.
Les complots
contre-révolutionnaires — La conjuration de Bretagne — L'agitation cléricale.
— Manuel et la Fête-Dieu de 1792 — La joie du père Duchesne — Inquiétudes de
Robespierre. — La messe de minuit en 1792 — L'équivoque de la politique
religieuse des révolutionnaires — La laïcisation de l'état civil — Cambon et
la suppression du budget des cultes — Les résistances populaires — L'opinion
Girondine. — L'opinion des Jacobins. — Les raisons du maintien du budget des
cultes — L'opinion de Danton — L'opinion de Condorcet — L'opinion de
Robespierre — L'erreur de Quinet.
LIVRE II. — LES QUESTIONS ÉCONOMIQUES ET SOCIALES.
PREMIÈRE PARTIE. — Les embarras financiers — Le
rapport de Roland sur l'activité commerciale — La crise industrielle à Lyon —
La disette à Rouen — L'agitation à Lyon — Les idées industrielles de Roland —
La baisse de l'assignat — Le retrait des billets de confiance — La cherté du
blé.
DEUXIÈME PARTIE- — Le prix du pain — Les
spéculations du roi — La dénonciation de Valazé — La réplique de
Creuzé-Latouche — La disette était factice — Les causes de la cherté — Les
fournisseurs — Les progrès de l'esprit de lucre — Les calculs des fermiers —
Les biens des émigrés et leur valeur — Le paiement en nature des baux des
biens nationaux — Le mouvement des salaires — Les remèdes proposés par
Condorcet — La campagne populaire pour la taxation.
TROISIÈME PARTIE. — L'agitation dans les
campagnes contre la vie chère — Un premier maximum — Une brochure de Momoro
pour le maximum — Le socialisme de L'Ange — La réglementation du commerce des
grains devant la Convention — Le discours de Beffroy — Le discours de Serre —
Le discours de Fayau — Le discours de Robespierre — Le discours de
Saint-Just.
LIVRE III. — LA POLITIQUE DE LA GIRONDE.
PREMIÈRE PARTIE. — La nouvelle marche de Marat
— L'erreur de la Gironde — Buzot et la garde départementale — Danton se
sépare de Marat — Barbaroux accuse Robespierre. — Marat se défend — La
Gironde et les Jacobins — Couthon dénonce l'ambition des Girondins — Les
sections de Paris et le vote à haute voix — Les fureurs de Buzot — Les
Révolutions de Paris attaquent la Gironde — L'avertissement de Condorcet —
Les Jacobins défendent la Commune — L'habileté de Robespierre et de Marat.
SECONDEE PARTIE. — Le réquisitoire de Roland
contre Paris — Roland contre Robespierre — Robespierre à la tribune. —
L'intervention de Danton — La catilinaire de Louvet — L'opinion de la presse
— La réplique de Robespierre — Pache — Garat — Lé renouvellement de la Municipalité
de Paris — La campagne d'Hébert contre Roland — L'évolution de Lebas.
LIVRE IV. — LE PROCÈS DU ROI.
PREMIÈRE PARTIE. — Les hésitations de la
Convention — La thèse de l'inviolabilité — La thèse Montagnarde. — Saint-Just
— L'opinion de Robespierre — L'opinion de Marat — La tactique de la Gironde —
Les diversions Girondines — Les preuves de la trahison royale — L'interrogatoire
de Louis XVI — Buzot et l'exil des Bourbons — La résistance de Marat — Le
plaidoyer de De Sèze — Ce qu'aurait pu être le plaidoyer du roi — Le discours
de Saint-Just du 27 décembre 1792.
DEUXIÈME PARTIE. — La Gironde et l'appel au
peuple — Les raisons de Vergniaud — L'argument de la situation extérieure —
Le discours de Vergniaud — Le discours de Buzot — Le discours de Pétion — Le
vrai dessein de la Gironde — Le discours de Robespierre contre l'appel au
peuple — Le discours de Barère — L'opinion de Danton.
TROISIÈME PARTIE. — L'intrigue de Dumouriez. — Danton et Dumouriez
— Les scrutins. — L'amendement Mailhe — Le vote de la Convention a-t-il été
libre ? — L'appel nominal — Le vote de Brissot. — La proclamation du vote —
La mort du roi était inévitable — Le vote de l'Ouest — Le rejet du sursis —
Le meurtre de Lepelletier — La mort du roi — La portée de l'acte.
LIVRE V. — LA PREMIÈRE COALITION.
La politique
extérieure de la Gironde — Les regrets de Robespierre sur le décret du 15
décembre — Marat contre l'impérialisme. — Danton et la politique de conquêtes
— Carnot et les frontières naturelles — La retraite de Roland et de Pache —
Cambon et les moyens financiers — D'abois-Crancé et l'amalgame — Les idées de
Guibert — Le témoignage de Gouvion-Saint-Cyr — La véritable signification de
l'amalgame. — Saint-Just et l'élection aux grades — L'opinion de Saint-André.
— Les instructions du Comité de salut public — Les plaintes des commissaires
de la Convention — Les devoirs des représentants aux armées — La levée de
300.000 hommes — L'appât aux enrôlements — La proclamation d'Isnard. —
L'artillerie française.
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