PARIS - IMPRIMERIE IMPÉRIALE - 1863
PREMIER MÉMOIRE. — DE L'ANNÉE VAGUE EN ÉGYPTE ET DU LEVER HÉLIAQUE DE SIRIUS, BASES PRINCIPALES DE LA THÉORIE DE BAINBRIDGE. DEUXIÈME MÉMOIRE. — DE L'ANNÉE FIXE ÉGYPTIENNE EN ELLE-MÊME ET DANS SES RAPPORTS AVEC L'ANNÉE VAGUE ET AVEC LES ANNÉES JULIENNE ET ALEXANDRINE. TROISIÈME MÉMOIRE. — DU RAPPORT DE L'ANNÉE VAGUE ET DE L'ANNÉE FIXE AVEC L'ANNÉE RURALE OU AGRICOLE REPRÉSENTÉE PAR LA NOTATION HIÉROGLYPHIQUE DES MOIS, ET DE LA CONSTITUTION ORIGINELLE DU CALENDRIER ÉGYPTIEN. AVERTISSEMENT.Les trois Mémoires qui ouvrent ce volume et qui renouvellent, depuis La Nauze et Fréret, depuis Ideler et M. Biot, l'histoire du Calendrier égyptien, avaient été lus pour la première fois, par leur illustre auteur, dans les séances de l'Académie, d'octobre en décembre 1838. Il en commença lui-même la seconde lecture en juin 1839, et il allait la reprendre, après avoir retouché à fond son travail, lorsqu'il nous fut enlevé, à la fin de 1848. Sur le vœu de l'Académie, et avec l'autorisation de la famille de M. Letronne, cette lecture, faite par l'organe d'un de nos confrères, occupa sans interruption les séances, du 26 janvier au 2 mars 1849, et fut poursuivie, dans les conditions relatées par l'historien de l'Académie au tome XVIII de la nouvelle série de ses Mémoires, page 342, jusqu'au point où la plume de l'auteur s'était malheureusement arrêtée. Il nous a paru que ces Mémoires, qui font époque dans l'histoire des recherches sur une des questions les plus importantes et les plus épineuses de toute l'antiquité, ne pouvaient manquer plus longtemps à notre Recueil, et les hommes les plus compétents, soit dans le sein de l'Académie, soit dans l'Europe savante, où les opinions de M. Letronne avaient transpiré dès longtemps, sans être suffisamment connues, en ont jugé ainsi. Nous avons donné, non-seulement à l'impression, mais à la révision nécessaire du manuscrit original, conféré avec la copie qui en avait été lue devant l'Académie par M. N. de Wailly, tous les soins dont nous étions capable, et nous ne saurions dire assez quels services nous a rendus à cet égard M. Th. Henri Martin, doyen de la Faculté des lettres de Rennes, non moins profondément versé que M. Letronne lui-même dans tout ce qui concerne l'histoire des sciences chez les anciens. Nous avons pu et nous avons osé, avec un tel auxiliaire, faire plus que compléter les citations, que l'auteur des Mémoires sur le Calendrier égyptien s'était, le plus souvent, contenté d'indiquer ; nous avons, dans les Notes de l'éditeur, rectifié quelques erreurs évidentes qui ne lui auraient pas échappé, si le temps lui eût permis de revoir son travail, et signalé les graves problèmes qu'il avait posés, sans les résoudre, dans la dernière partie. J. D. G. OBSERVATION PRÉLIMINAIRE.Le titre que je viens de lire doit rappeler à l'Académie le souvenir d'une savante controverse qui eut lieu dans son sein, il y a plus d'un siècle, entre La Nauze et Fréret. Cette controverse a laissé de glorieuse traces dans la collection de ses Mémoires[1], où les travaux des deux illustres adversaires ont été imprimés à la suite l'un de l'autre ; car l'Académie ne prend point parti entre les opinions contradictoires de ses membres ; elle les accepte également sous la responsabilité des auteurs, et elle laisse au temps seul à prononcer entre elles. Sur le point principal de la discussion, les juges compétents ont, depuis longtemps, donné gain de cause à Fréret. La thèse de La Nauze est abandonnée, et ses trois grands mémoires ne servent plus qu'à nous apprendre (et cet enseignement n'est pas sans utilité) quelle fâcheuse influence peut exercer, sur un homme de mérite, une idée préconçue où il s'obstine à ne pas reconnaître une erreur. Cette lutte pacifique est peut-être la première de celles qui se sont produites plusieurs fois devant l'Académie (toujours au profit de la [-2-] science) ; mais, à coup sûr, il n'en est pas de plus mémorable tant par le mérite des deux athlètes que par l'importance du débat. En effet, l'histoire de l'antiquité offre peu de questions qui aient plus de portée et d'étendue que celle du calendrier égyptien, puisqu'elle touche, d'un côté, au berceau d'une des plus anciennes civilisations du monde, de l'autre, à l'institution du calendrier julien, qui régit encore toutes les sociétés chrétiennes ; et que, dans ce vaste intervalle, elle se lie avec une foule de questions obscures d'histoire ou de chronologie. Aussi, de bonne heure, et bien avant nos deux illustres académiciens, Joseph Scaliger, Petau, Riccioli, Bainbridge, Greaves, Golius, Saumaise, Marsham, Dodwell, Desvignoles et d'autres hommes distingués par un savoir profond ou un esprit pénétrant, avaient fait de cette question l'objet de recherches plus ou moins approfondies. Après La Nauze et Fréret, des savants versés dans la connaissance, soit de l'astronomie ancienne, soit des anciens calendriers, tels que Averani, Dupuy, Gibert, Bailly, Lalande, Pfaff, Gatterer, etc. tâchèrent de résoudre les difficultés que leurs devanciers ne paraissaient pas avoir levées d'une manière satisfaisante. Tous ces travaux, concordants sur quelques points, divergents sur beaucoup d'autres, ont été résumés avec savoir et impartialité par M. L. Ideler[2]. Je me crois donc heureusement dispensé de reproduire l'analyse ou la critique de toutes ces opinions, dont quelques-unes, d'ailleurs, n'ayant eu que fort peu de partisans, ou même n'en ayant pas eu du tout, ont maintenant fort peu de chances d'en avoir à l'avenir. Je me bornerai à rappeler en peu de mots les points fondamentaux de celle qui' avait fini par triompher de toutes les autres, et qui, jusqu'à ces derniers temps, paraissait incontestable, ou, du moins, avait fini par n'être plus contestée. L'année civile des anciens Égyptiens, pendant une longue suite de [-3-] siècles, se composait de 365 jours, sans intercalation. Cette année était divisée en 12 mois de 30 jours chacun, et l'on ajoutait, à la fin du dernier mois, 5 jours complémentaires, dits épagomènes. Cette année était donc plus courte de 6 heures que l'année solaire, dont on croyait la durée égale à 365 jours ¼. Ainsi, à la fin de chaque année, le 1er de thoth (premier mois de l'année égyptienne) retardait de ¼ de jour sur l'année naturelle, d'un jour en 4 ans, de 3o jours ou d'un mois en 120 ans, et de 365 jours ou d'une année entière en i It6o ans ; en sorte que le 1er thoth revenait à un même jour de l'année solaire après une période de 1461 années de 365 jours, et de 1460 années de 365 jours ¼. C'est cette période qu'on appelait caniculaire ou sothiaque, parce qu'elle ramenait le 1er thoth vague le jour du lever héliaque de l'étoile du Chien, que les Égyptiens appelaient Sothis. Un renouvellement de cette période eut lieu le 20 juillet de l'an 139 de notre ère : la période précédente avait donc commencé en 1322 avant J. C., celle d'auparavant, en 2782, en supposant que le calendrier eût la même forme à cette époque si reculée. Cette année vague a subsisté, avec le même caractère, jusqu'à la réforme introduite à Alexandrie, l'an 5 d'Auguste ou 25 avant notre ère ; elle fit place alors à une année rendue fixe au moyen de l'intercalation d'un jour tous les quatre ans, placé après le cinquième épagomène. Le 1er thoth de cette année fixe fut établi le 29 août, et le 3o dans les années intercalaires, jour auquel le 1er thoth répondit fortuitement dans l'année de la réforme. Antérieurement à cette époque, toutes les dates civiles étaient rapportées à l'année vague de .365 jours, dont les concordances juliennes peuvent s'établir au moyen d'un simple calcul arithmétique. Ce court résumé contient, sauf les détails, la théorie du calendrier égyptien, telle qu'elle fut établie par Bainbridge dans son remarquable opuscule intitulé Canicularia[3], et telle qu'elle a été admise [-4-] par les meilleurs juges de la matière, depuis le chronologiste Fréret jusqu'au géomètre Fourier et à l'astronome Ideler. Mais cette théorie, quand elle serait vraie en principe, n'est pas à beaucoup près complète. A côté des faits principaux qu'on a pris pour certains, et qui le sont en effet, il s'en trouve d'autres de quelque importance, qu'elle n'explique pas, ou dont elle donne une explication insuffisante. Quelques-uns des points fondamentaux de cette théorie ont été contestés[4]. On a soulevé des difficultés graves, qui n'avaient pas été aperçues, et dont on ne peut plus se dispenser de donner la solution, dès qu'elles ont été signalées. Elles ont conduit à nier que le lever héliaque de Sirius ait pu avoir, sur la constitution du calendrier égyptien, l'influence que des autorités historiques lui attribuent. A la période sothiaque de 1461 années vagues, qui est évidemment trop courte comme période de restitution dans la vraie année tropique, on a voulu substituer d'autres périodes parfaitement exactes, mais dont les anciens n'ont. jamais dit un mot. D'autre part, deux ingénieux philologues[5] ont avancé que l'année des anciens Égyptiens était, comme celle des anciens Perses, une année vague, rendue fixe tous les 120 ans, au moyen de l'intercalation d'un mois de 30 jours[6], et que l'autre année vague, attribuée aux anciens Égyptiens, ne s'est introduite parmi eux que sous le règne des Ptolémées, alors que le calendrier indigène était oublié ou tombé en désuétude. De plus, ceux mêmes qui reconnaissent la vérité de la théorie de Bainbridge, outre qu'ils laissent sans solution nombre de difficultés historiques, sont encore en dissidence sur plus d'un point important. Les uns admettent, les autres rejettent l'existence en Égypte, avant la réforme alexandrine, d'une année fixe avec intercalation quadriennale [-5-]. D'un autre côté, la notation hiéroglyphique de l'année et des mois, une des plus heureuses découvertes de Champollion, est venue encore compliquer la question, en y introduisant des éléments qui semblent, au premier coup d'œil, inconciliables avec tous les autres. Si nous ajoutons enfin que quelques-uns attribuent aux anciens Égyptiens la connaissance de la vraie année tropique, et même celle d'une année sidérale exacte, on aura un tableau peu flatté, mais fidèle, des incertitudes et des difficultés que présentent encore diverses parties essentielles d'une question qui a occupé tant d'habiles critiques depuis plus de deux siècles. Est-il possible maintenant d'entreprendre, avec quelque espoir de succès, de lever ces difficultés et de dissiper ces incertitudes ? Il est fort permis d'en douter et de craindre qu'une solution qui paraîtra nouvelle ne soit restée nouvelle que parce que nos devanciers n'en auront pas voulu. Et c'est là malheureusement ce qui est arrivé plus d'une fois, en des sujets comme celui-ci, longtemps et vainement débattus entre des hommes distingués, qui ont dû rejeter bien des combinaisons avant de s'arrêter à aucune. En pareil cas, pour se donner à soi-même et pour inspirer aux autres un peu de confiance, il faudrait au moins avoir à produire quelque élément d'une certaine valeur qui leur soit resté inconnu. C'est une circonstance de ce genre qui m'a suggéré l'idée et donné la hardiesse de rentrer dans une carrière tant de fois parcourue, où il restait encore tant de choses à expliquer. Deux passages remarquables contenus, l'un dans un papyrus grec inédit, l'autre dans une scholie d'Olympiodore, m'ont fourni deux éléments nouveaux, qui m'ont paru propres à lier et à expliquer un grand nombre de faits qu'on n'avait pu coordonner entre eux. C'est l'exposé de cet ensemble de faits que je vais présenter dans ce travail, où je tâcherai de réunir tous les éléments historiques de la question. J'insiste sur les termes d'éléments historiques, parce qu'ils annoncent la méthode d'investigation que je vais suivre. Je pars, en effet, de ce principe, qu'une étude sur la nature et [-6-] la forme d'un calendrier est avant tout une question historique. Il s'agit de savoir ce qu'un peuple a fait réellement, et non pas seulement ce qu'il a pu et même dû faire. Il faut donc, en premier lieu, réunir tous les éléments historiques que l'on possède, et n'invoquer le secours du calcul que s'il est nécessaire de s'assurer que les résultats historiques ont leur base dans la nature ; car, si l'invraisemblable peut quelquefois être vrai, on ne saurait jamais admettre l'impossible. En de telles questions, les calculs les plus profonds de probabilité, comme les combinaisons de chiffres les plus ingénieuses, ne peuvent tenir lieu d'une autorité historique positive, à plus forte raison, prévaloir contre elle. Ainsi, que les Égyptiens aient employé des périodes de restitution ; qu'ils soient arrivés à la connaissance de la vraie durée de l'année tropique, et même de l'année sidérale ; qu'ils aient eu, en outre, l'usage des semaines, des jours et des années, et les divers modes de supputer le temps qu'on leur a généreusement prêtés ; enfin, que la forme et l'orientation de leurs pyramides les aient de bonne heure conduits à la connaissance de quelques théorèmes de géométrie, ou leur aient fourni quelques applications astronomiques, ainsi qu'on l'a présumé a priori, tout cela n'a rien que de fort possible. Mais, de ce qu'ils ont pu avoir ces connaissances ou faire usage de ces procédés, il ne s'ensuit pas du tout qu'ils aient réellement possédé les unes et employé les autres. Pour être en droit de tirer cette grave conséquence, il faut au moins que des autorités historiques viennent changer cette possibilité en un fait. Assurément on aurait peine à trouver quelque chose de mieux imaginé que le cycle séculaire dont Niebuhr a fait présent aux anciens Étrusques. La combinaison en est ingénieuse autant qu'exacte ; mais, comme la base historique manque à cet admirable cycle, il court fort le risque de n'avoir existé que dans le cerveau de l'inventeur[7]. Supposons, pour un instant, qu'il ne reste de toute l'histoire de [-7-] l'astronomie en Chine que ce petit nombre de faits, à savoir, que, dés le temps d'Yao dans le xxlve siècle avant notre ère, les Chinois connaissaient l'année de 365 jours ¼[8] ; qu'ils observaient dès lors les équinoxes et les solstices[9] ; et que, 1100 ans avant notre ère, ils obtinrent des observations méridiennes si exactes, que Laplace[10] a pu les faire entrer dans sa théorie des variations de l'obliquité de l'écliptique. De ces faits certains, on pourrait se croire en droit de conclure que les Chinois ont dû, de très-bonne heure, connaître la vraie longueur de l'année tropique, et en faire la règle de leur calendrier ; qu'ils n'ont pu manquer d'apercevoir le phénomène de la rétrogradation des fixes, et qu'ils ont dû être en état de calculer les éclipses. Malheureusement l'histoire de la Chine est là pour attester que vingt-cinq siècles après Yao, jusqu'en 206 de notre ère, les Chinois ont toujours cru que l'année solaire était de 365 jours ¼ ; qu'ils n'eurent aucune notion ni de la rétrogradation des fixes, ni d'une année sidérale, avant l'an 400 de notre ère, et qu'ils ont attendu l'arrivée des jésuites pour apprendre à calculer une éclipse, ou à dresser un almanach. Ce sont là des résultats qu'il faut bien admettre, quelque invraisemblables qu'ils paraissent, puisqu'ils sont fondés sur l'histoire. On les explique alors au moyen de diverses suppositions fort admissibles, telles que l'immuable constance des Chinois dans leurs croyances et leurs usages. Ceux qui trouvent cette explication suffisante, et je suis du nombre, doivent aussi l'admettre pour les Égyptiens, si par hasard leur histoire venait à nous montrer, avec une certitude égale, que, sur la durée de l'année, comme sur les autres points de l'astronomie ou du calendrier, les Égyptiens n'ont pas été plus avancés que les Chinois ; car, en Égypte, l'attachement aux usages civils et religieux a été pour le moins aussi profond et aussi constant que dans le Céleste Empire. Je me borne à cette observation générale, parce qu'elle suffit à [-8-] bien fixer mon point de vue et le principe qui m'a dirigé dans toute l'étendue de mon travail. Comme les principales données de la question ont été mises en doute, et ses bases contestées, je vais reprendre l'édifice en sous-œuvre, et le reconstruire pièce à pièce avec les matériaux historiques qui sont à ma disposition. La méthode que j'emploierai pour y parvenir est bien simple ; elle consiste à réunir avec soin tous les éléments certains et positifs que l'histoire peut fournir, et, par les moyens qu'avoue une critique sévère, à en déterminer la valeur et l'importance ; puis, sans y joindre ni aucune hypothèse, ni aucune idée préconçue, à en tirer toutes les conséquences immédiates qui, étant rigoureusement contenues dans les prémisses, peuvent être admises par tout esprit droit comme un résultat suffisamment établi. L'Académie ne croira pas sans doute indigne de son attention une discussion d'un si grand intérêt scientifique, qui se présente pour la seconde fois devant elle, après un intervalle de plus d'un siècle, avec de nouveaux moyens de solution, que nos illustres devanciers, La Nauze et Fréret, ne pouvaient connaître de leur temps. Ces recherches formeront trois mémoires, qui contiendront le développement régulier du sujet : Le premier traitera de l'année vague égyptienne dans son rapport avec le lever héliaque de Sirius ; Le second, de l'année fixe égyptienne dans son rapport avec l'année vague et avec les années fixes julienne et alexandrine ; il est terminé par des considérations sur les connaissances astronomiques des Égyptiens, sur la nature et sur l'histoire de leur calendrier. Le troisième traitera de la constitution originelle du calendrier égyptien, d'après la notation hiéroglyphique des mois dans l'année agricole. |
[1] T. XIV, série ancienne, p. 334 ; t. XVI, p. 170, 193, et p. 308.
[2] Untersachutgen liber die
astronom. Beobachtungen der Alten, p. 17-145. — Handb.
der math. und techn. Chronologie, t. I, p. 93-194, et t. II, p. 591-599.
[3] Ozoniæ, 1648.
[4] Biot, Recherches sur l'année vague, p. 14 et suiv., 36 et suiv., 41, etc. du tirage à part (t. XIII des MM. de l'Acad. des sc., 2e série, p. 547-693).
[5] Benfey und Moris Stern, Ueber
die Monatsnamen ciniger alten Völker, Berlin, 1838, p. 229.
[6] Fréret, sur l'année des Perses, Acad. des inscript. t. XVI, p. 233.
[7] Röm. Geschichte, t. I, p. 304, 5e édit.
[8] Biot, Sur l'Astronomie chinoise, p. 24, tirage à part.
[9] Biot, Sur l'Année vague, p. 126.
[10] Expos. du système du monde, p. 365.