Le deuil perpétuel de Madame Mère. — Dictée de ses Souvenirs. — Son inépuisable sollicitude pour les siens. — Lettres : de Madame à son fils aîné ; — de Joseph à sa mère ; — à la reine Julie ; — de Madame à son fils Lucien ; — à son fils Joseph, pour le mariage de Charlotte. — La gouvernante Saveria et la nourrice Ilari auprès de leur maîtresse. — Le tableau de Charles-Louis Müller. — Lettres : de Madame à la reine Julie ; — de M. Clary à Madame. — Foi religieuse de Madame. — Publications sur la mort de Napoléon. — Le Mémorial de Sainte-Hélène. — Lettre d'envoi du comte de Las Cases à Madame Mère.La mort de Napoléon imposait à Madame le deuil le plus rigoureux pour le reste de sa vie. Cette mère de toutes les douleurs ne trouva plus désormais de refuge que dans la retraite et la prière. Ses pensées de chaque jour, de chaque moment, la ramenaient sans cesse vers ce fils délivré du martyre et devenu pour elle le plus aimé des siens, non parce qu'il avait été le plus grand, mais le plus malheureux. Ce n'était pas vers l'empereur et roi, dans sa toute puissance, ce n'était pas vers le conquérant de l'Europe, vaincu par la coalition étrangère, immolé ensuite par un exil fatalement mortel, que Madame retrouvait ses plus chers souvenirs, c'était vers l'enfant porté dans son sein, à la guerre de l'Indépendance, suivant son mari, à travers les montagnes, les bois et les rivières de la Corse ; c'était vers cet enfant, allaité par elle, à sa naissance, dirigé par elle dans ses premiers pas, préparé enfin par elle à sa prodigieuse destinée. Les derniers mots de ses Souvenirs[1] expriment toute
l'étendue de sa douleur, à jamais inconsolable, depuis la mort de Napoléon.
Elle l'avait vu, presque sans surprise, s'élever, par son génie au faîte de
la plus haute renommée, comme si elle eût prévu l'origine de cette destinée
surnaturelle. Mais aussi elle disait : Quand j'ai vu
mon fils précipité du trône, quand je l'ai vu envoyé à Sainte-Hélène, je me
suis dit : Toi, la mère de cet homme, tu dois, maintenant, oublier le
monde, il n'y a plus de bonheur pour toi ! Ton fils est malheureux, tu seras
désormais triste et retirée. Un livre de l'armée française a dit à
cet égard : Elle a tenu parole, la vieille mère
Corse, elle a tenu parole. Jamais aucun son de joie ne sortit de sa demeure ;
jamais les équipages brillants ne s'arrêtaient à sa porte, sinon ceux de ses
enfants. Elle a tenu parole[2]. La sollicitude de Madame pour chacun des siens les lui rappelait toujours, dans leurs premières années. Elle leur prêchait d'exemple, le travail, en citant pour modèle Napoléon : Ce n'est, disait-elle, qu'en travaillant, que mon fils est devenu empereur et que, de ses frères, il a fait des rois. Cependant, à une certaine époque, ajoutait-elle franchement, et sans fierté, je ne mettais pas toujours le pot-au-feu. Elle aimait à parler de son temps de privations et d'adversité, plus que de son temps de bien-être et de prospérité, sans oublier jamais les mauvais jours. Elle appelait enfin son fils Napoléon : l'empereur, en reconnaissant le prestige de son pouvoir. Ce n'était point chez elle une fausse vanité, c'était le légitime orgueil d'avoir donné le jour à l'élu de la nation, au chef de la dynastie napoléonienne. Quelques-uns des petits-enfants de Madame avaient pu venir la voir, à Rome et, par une autorisation spéciale, prolonger leur séjour auprès d'elle. Ce fut ainsi que Jérôme lui amena le fils de son premier mariage. Il plaisait à sa grand'mère, songeant, dès lors, à le marier. Son choix eût été pour la seconde fille de Joseph, la princesse Charlotte, jeune fille accomplie, par ses qualités, et par ses talents. De là pour Madame, le motif d'adresser au comte de Survilliers la lettre suivante[3] : Rome, 25 janvier 1822. Mon très cher fils, Vous aurez, avant ce moment-ci, embrassé Charlotte ; elle vous sera d'une grande consolation. Vous avez raison d'être décidé à l'unir au fils de Jérôme. Ce jeune homme est ici, depuis deux mois ; j'en suis émerveillée. Il n'est pas possible de trouver son aplomb et son bon sens, à son âge ; et sans doute, Charlotte serait heureuse. Vous trouverez ci-joint, copie des lettres du père et de Catherine, dont je vous ai envoyé les originaux par un autre canal, qui vous marquera le désir de voir effectuer cette union. Je vous ai écrit, ainsi que Pauline, le 5 décembre, qu'elle promettait pour cette union, 300.000 francs, à sa mort. Ainsi, si vous êtes du même avis, il ne s'agirait que de lui écrire, pour se rendre, sur-le-champ, en Amérique. ... Donnez-moi souvent de vos nouvelles et de celles de ma chère Charlotte, et soyez convaincu du tendre attachement avec lequel je vous embrasse tous deux. Louis et son fils sont ici et se portent bien. Addio, caro figlio, sono la Vostra ottima Madre. Lettre de Joseph à Madame[4]. Pointe-Breeze, 24 février 1822. Ma chère mère, Une lettre de Pauline, du 1er décembre, m'apprend que Lucien est encore à Canino : Je l'attendais ici, depuis la réception de sa lettre du 29 septembre, par laquelle il m'annonçait que les puissances consentent enfin à son départ et qu'il sera, sous trois mois, auprès de moi ; il m'assure même que vous avez été satisfaite du mariage de son fils avec Zénaïde, qu'il vous a donné le désir de venir avec eux en Amérique. J'ai été fort heureux de ces nouvelles ; mais je suis fort inquiet, aujourd'hui, de son silence et de celui de Julie ; Lucien est-il malade ? Refuse-t-on des passeports à lui et à son fils, après les avoir promis ? J'ai arrêté et meublé, en ville et à la campagne, une maison pour lui. J'ai consenti à tout ce qu'il a désiré, pour ce mariage ; je vous prie de me dire ce qu'il en est. Ce mariage et celui d'un des fils de Louis ont toujours été dans ma pensée ; je pense que les convenances de leurs enfants et des miens y sont également ; je vous prie de me dire ce que vous pensez de l'un et de l'autre. Il me semble que, dans la position où nous nous trouvons, ces alliances sont presque un devoir envers notre famille et notre pays, car l'avenir est caché à tout le monde et mes filles auraient chacune une fortune indépendante. Ce n'est donc pas sous ce rapport que je désire et que j'ai toujours désiré ces deux mariages ; je vous prie d'en parler à Louis, qui est auprès de vous ; et je consentirai à ce que ma fille Charlotte retourne en Europe avec son fils, pour y vivre auprès de lui, dès que Zénaïde et Charles seront arrivés auprès de moi. Je ferai ce sacrifice au bonheur de mes enfants ; elles doivent désirer ne point changer de nom, et si l'âge n'a pas changé la manière de sentir et de penser de Louis, il me semble que son cœur doit battre, comme le mien. Mes enfants ayant été élevés dans cette opinion, depuis que l'adversité ne leur a pas laissé d'autre point de vue pour leur avenir, il ne m'est pas possible de leur proposer d'autre parti, tant que ces deux-là ne seront pas perdus pour elles. Joseph fait ensuite l'éloge du fils de Jérôme, d'après une lettre de Pauline et revient encore à ses deux filles, dans les termes suivants : Pointe-Breeze, 1er mars 1822. Je ne suis occupé aujourd'hui que de l'établissement de Zénaïde avec Charles, de leur arrivée ici, et du projet de l'établissement de Charlotte et de Napoléon, fils de Louis. Ils se sont connus dans la prospérité et dans l'adversité, et leur union serait nationale. C'est à vous, ma chère maman, au cardinal et à Louis, que j'ai aimé comme un fils, à faire en sorte que nous soyons serrés dans l'adversité, afin de mériter de n'être pas oubliés par la nation qui nous a adoptés. Communiquez cette lettre à Louis, et qu'il fasse ce que lui dictera son cœur et le respect qu'il doit à son nom : les circonstances où nous nous trouvons sont singulières ; elles admettent et excusent des formes qui ne sont pas dans les usages journaliers de la société ! Adieu, ma chère maman ; écrivez-moi donc plus souvent et ne doutez pas de toute la tendresse de mon affection pour vous, pour le cardinal et pour mon frère Louis. P.-S. — Je vois dans une gazette française que le général Macdonald est arrivé, chez vous, ma chère maman, pour des affaires de Caroline. D'un autre côté, on écrit qu'elle ne peut pas avoir de passeports pour quitter les États autrichiens. Suit une fausse nouvelle sur un voyage de Louis et de Jérôme à Rome, sur un prétendu mariage du fils de Lucien avec une riche héritière. Je vous prie, ajoute Joseph, de m'écrire plus longuement et plus souvent que vous ne le faites, tantôt vous, tantôt le cardinal. Je regarde cette lettre comme commune à l'un et à l'autre. Nous nous portons bien, Lolotte et moi et nous désirons bien que cette année ne se passe pas, sans être rejoints par plusieurs membres de la famille. Votre affectionné fils, J. (Ce
post-scriptum seul est de sa main.) Joseph écrit, de Pointe-Breeze, sa résidence d'été, à sa femme (l'ex-reine Julie)[5] préoccupée plus que lui-même de ces projets de mariage, pour leurs deux filles. ... Ma chère Julie, l'occasion étant retardée, j'ai le temps de t'écrire encore deux mots : J'ai reçu une lettre du cardinal, du 29 octobre. Il me dit que lui et maman pensent que le mariage du fils de Louis serait possible, si nous voulons que celle de nos filles qui l'épouserait reste avec mon frère Louis. 1° Si Zénaïde épouse Charles (fils de Lucien), il faut marier Lolotte avec le fils de Louis, par procuration, si on ne peut faire autrement. Dans ce cas, je vous attends bientôt. 2° Si le mariage de Charles manque, il faut que Zénaïde épouse le fils de Louis, et que, si cela est indispensable, elle reste avec eux, quelque temps ; dans ce cas, Lolotte épouserait celui des deux fils de Murat que tu choisirais pour son caractère, etc. Les deux filles de Joseph, Zénaïde et Charlotte, étaient fort aimées de leur grand'mère, qui semblait avoir pour la seconde une préférence marquée. Aussi Madame s'adressa-t-elle, de nouveau, à Joseph, pour le mariage projeté de Charlotte, avec le fils de Jérôme. Mais ce projet fut abandonné. Madame écrit à Lucien (Son Altesse le prince de Canino, à Bruxelles)[6] : Mon très cher fils, J'avais appris votre départ de Bologne, avec la nouvelle que vous y aviez été incommodé et que vous étiez guéri d'une fluxion de tête. J'ai eu la consolation de voir Jérôme, arrivé de Trieste, depuis trois jours et je ne me suis pas refusée à son intercession de recevoir et d'embrasser Lolotte et Letizia, avec leurs maris, parce que je voulais aussi vous faire cette surprise ; mais j'ai exigé qu'elle vît Louis et j'espère que vous écrirez au mari de Letizia de revoir Pauline. J'espère que, poste restante, vous leur en donnerez la permission, puisque je tiens à ce que toute la famille se réunisse. Il y a toujours du malheur pour ceux qui n'obéissent pas à leur mère ; et, dorénavant, je veux voir tous mes enfants réunis, afin qu'ils puissent me donner par là un témoignage de respect et de tendresse, ou, si je ne puis pas avoir ce bonheur, je préfère vivre seule. J'espère que, par votre première lettre, vous me donnerez la nouvelle satisfaisante que Zénaïde et Charles se conviennent l'un à l'autre. Je vous embrasse tous, Tua affettma Madre. Rome, 9 mars 1822. Madame à la reine Julie[7]. Albano, 4 juillet 1829. Ma très chère fille, Votre lettre du 8 juin m'a fait beaucoup de plaisir. Mon frère a reçu la procuration ; je suis prête à lui remettre cent mille piastres. Mais je ne puis point me dessaisir de mon plus fort avoir, sans que les intérêts à 6 p. 100 me soient assurés, à Rome ou à Paris, par une personne solvable. Lisez la lettre que j'écris à Joseph. L'avenir nous est caché et je ne dois pas me mettre .à la merci de vos gendres. Levez cette difficulté et, sur-le-champ, je réaliserai ma promesse ; je ne veux retenir que les intérêts d'un an, sinon le cardinal placera à Rome le capital. Cachetez et envoyez la lettre à Joseph. Je vous embrasse, ainsi que le cardinal, avec l'attachement le plus tendre. J'ai le présent que je compte faire à Zénaïde, mais je n'ai pas encore une bonne occasion pour le lui envoyer et, comme l'on m'assure qu'elle doit se rendre bientôt en Italie, je le lui remettrai moi-même. Vostra affma Madre. (Suit,
par post-scriptum, une question maternelle et familiale sur la santé de
Charlotte.) Vostra Madre. Quelques autres lettres relatives à des intérêts de famille peuvent être passées sous silence. Vivant isolée du monde, et fuyant les distractions futiles, Madame se renfermait dans le deuil de ses pensées. Elle avait gardé, auprès d'elle, deux fidèles compagnes de son existence intérieure, deux femmes corses, toutes dévouées à sa solitude et vieillies à ses côtés. L'une était Saveria, la gouvernante de tous les enfants, et l'autre Ilari, la nourrice de Napoléon, si gaie, si joyeuse autrefois, n'ayant plus que la tristesse reflétée sur elle par les malheurs de sa vénérable maîtresse. Une touchante composition d'un peintre de grand talent, Charles Müller[8], de l'Académie des beaux-arts, représente Madame Mère, en 1822, une année après la mort de Napoléon. Elle est assise sur un canapé de son salon, au-dessous d'un tableau dit : le Christ enseveli par la Vierge. Madame, en toilette de deuil, a interrompu son travail habituel de filer au fuseau. Elle le tient de la main gauche, tandis qu'accoudée au canapé, de sa main droite, elle dégage sa noble figure, dans sa beauté sénile, en élevant ses yeux vers l'image de son fils, vu tout debout, en costume impérial. Deux femmes en bonnet se tiennent à l'écart, près d'une fenêtre peu éclairée, dont la faible lumière se dirige vers Madame et vers le portrait semblant agrandi. L'une des deux femmes, la moins âgée, s'est levée de sa chaise, en interrompant une lecture à haute voix, tandis que la seconde femme reste assise et continue son ouvrage. Madame avait gardé, jusqu'à un âge avancé, les croyances religieuses de sa jeunesse, sans leur opposer les doutes de l'incertitude. Elle se rappelait la simple parole de l'empereur disant : Je crois tout ce que croit mon curé. On ne saurait conclure de là que Madame fût dévote, encore moins, d'une dévotion outrée, plus en dehors qu'en dedans de sa conscience. Sa piété était simple et vraie, sans affectation pour elle-même, et toujours tolérante pour les autres. Cette foi de l'empereur, conforme à celle de son curé, nous rappelle le mot cité, devant nous, par le vicaire d'une importante église. Il avait connu, à Rome, un évêque d'esprit auquel Madame demandait, un jour, avec une confiance naïve, s'il croyait que Napoléon fût en paradis : Oui, Madame, je le crois, lui répondit le prélat, mais je n'en ai pas encore acquis la certitude. Des articles de journaux ou des ouvrages publiés sur Napoléon, depuis sa mort, étaient, pour sa mère, la seule diversion possible à sa douleur. Elle voulait connaître tous les écrits dignes de la mémoire du captif de Sainte-Hélène ; elle se les faisait lire ou analyser, et elle avait encore la vue assez bonne pour lire elle-même, chaque jour, plusieurs chapitres des livres offerts à la curiosité publique de l'époque. Vers la fin de l'année 1822, parurent, en épreuves, les deux premiers volumes du Mémorial de Sainte-Hélène, journal où se trouve consigné, jour par jour, ce qu'a dit et fait Napoléon, durant dix-huit mois[9]. Le comte de Las Cases adressa les deux premiers volumes au cardinal pour Madame Mère, avec cette lettre d'envoi[10] : Paris-Passy, le 18 décembre 1822. J'ai l'honneur d'adresser à Votre Éminence les deux premiers volumes de mon Mémorial de Sainte-Hélène. Vous verrez que ce ne sont encore que des épreuves, l'ouvrage ne devant paraître que dans quelques jours. Mais j'ai voulu profiter d'une occasion favorable, pour vous prier de déposer aux pieds de Madame ce premier exemplaire, bien qu'imparfait. Si vous daignez m'indiquer, à Paris, où je pourrais en déposer la suite, vous recevrez, sous quinzaine, les deux volumes suivants. La mort du captif de Sainte-Hélène avait pu suspendre les hostilités de l'Angleterre contre la famille Bonaparte ; mais il n'en fut pas ainsi de la part du gouvernement français d'alors. L'humble mère de Napoléon avait bien été suspectée de conspiration lorsqu'il vivait encore ; elle fut, après sa mort, surveillée de nouveau, avec plusieurs des siens, arrivés depuis peu auprès de leur mère pour séjourner à Rome, quelque temps. Les Archives nationales[11] renferment, à cet égard, certains renseignements étranges et sommaires, de 1822 à 1827. Voici, entre autres, les notes inscrites sur la famille Bonaparte, à Rome : Lucien déclaré non suspect ; Louis, non plus. Le cardinal Fesch et Madame Letizia paraissent d'une nullité absolue. Ce n'est pas seulement écrit, c'est souligné dans la note anonyme du délégué de confiance, à cet effet. Comment qualifier de telles appréciations ? La pauvre princesse Pauline, si malade déjà, est désignée de même et d'autres personnes sont aussi déclarées sans importance. Mais, dit le rapporteur
secret, un homme plus dangereux sans doute, dans une
circonstance donnée, serait le sieur Beschart, tailleur au Palais-Royal et
l'un des principaux fournisseurs du duc d'Orléans. Il a fait récemment un
voyage à Rome, pour porter à Madame Letizia divers objets qui auraient
appartenu à Bonaparte. Or, ces objets n'étaient autres que des legs de
Napoléon à sa mère, envoyés de Sainte-Hélène à Rome. N'est-ce pas un
sentiment douloureux qu'inspire une suspicion pareille ? C'est pourquoi, si on proposait à Madame Mère de solliciter pour elle seule son retour en France, elle s'offensait d'une démarche ne concernant pas sa famille entière et elle redisait : Je n'ai jamais abandonné mes enfants dans leurs souffrances ou dans leurs infortunes ; je ne les abandonnerai pas plus aujourd'hui qu'autrefois, et j'aime mieux être exilée de France avec eux, que d'y rentrer sans eux. |
[1] Souvenirs dictés par Madame, à Rome. V. l'Appendice.
[2] Les Femmes militaires, par Tranchant et Ladimir.
[3] The life of Madame Bonaparte (Paterson) (par E. Didier, 1819).
[4] Copie de l'original, conservé aux archives de la Bibliothèque.
[5] Livre de Eug. Didier, Madame Bonaparte (Paterson).
[6] Lettre originale communiquée par la comtesse aina (Lucienne Valentini, à Pérouse, petite-fille de Lucien).
[7] Lettre communiquée par le comte Primoli.
[8] Tableau exposé au Salon de 1862.
[9] Mémorial de Sainte-Hélène, 1re édit., 8 vol. in-12, 1823.
[10] Registre de correspondance.
[11] Dépôt des Archives nationales.