MADAME MÈRE (NAPOLEONIS MATER)

 

1800.

 

 

Situation, nouvelle de la famille Bonaparte, depuis l'élection du premier consul. — Mariage de Caroline avec J. Murat. — Les préséances, au repas de noces. — Résidence des Tuileries. — Simplicité des habitudes de Madame Letizia. — La vie du premier consul toujours menacée. — Scène de la tabatière cassée. - Rivalité entre les dames Bonaparte et Joséphine de Beauharnais. — Les habitués de la Malmaison. — Réserve du premier consul envers sa mère. — Victoire de Marengo. — Lucien veuf de sa première femme. — Joseph Bonaparte à Mortefontaine. — Autres préséances à table. — Situation de Joséphine. — Pressentiment de sa belle-mère. — Reproche de Napoléon à sa mère de lui préférer Lucien. — Complot de la machine infernale.

 

Le général Bonaparte, proclamé premier consul, inaugurait le XIXe siècle, par une ère nouvelle pour la France et assurait à sa famille un bien être inattendu. Son humble mère, longtemps privée, pour les siens et davantage pour elle même, des bienfaits de la fortune, avait pourvu aux besoins de sa maison, avec les faibles ressources dont elle pouvait disposer. Elle se trouva, tout à coup, en position de ne plus s'inquiéter des ressources de sa famille dans le présent, sauf les appréhensions de l'avenir. La destinée enfin, en élevant la gloire du fils, semblait récompenser la vertu de la mère.

L'une des influences accessoires de ce changement de régime sur le public, fut une transformation du langage. Les noms de citoyen et de citoyenne usités, d'après le système égalitaire, disparurent peu à peu, dans les rapports familiers. Mais ce terme subsista pour le rang social ou officiel le plus élevé, tel que celui de citoyen premier consul. Sa femme, dite auparavant la citoyenne Bonaparte, fut appelée madame Bonaparte, et sa mère Madame Letizia ou Madame Bonaparte mère, suivant sa propre signature. C'était à la date du 11 nivôse, an VIII (1er janvier 1800).

Le mariage de la plus jeune fille de Madame Letizia, dans le courant de janvier, semblait ouvrir une ère de jours heureux. Caroline épousait Joachim Murat, l'un des braves compagnons de son frère à l'armée d'Orient. Ce choix plaisait à la veuve de Charles Bonaparte, comparé par elle au vaillant colonel du consulat. Le mariage fut célébré, le 20 janvier, au milieu d'une assistance de brillants uniformes et d'élégantes toilettes.

La déférence du premier consul pour sa mère se manifesta, au dîner donné par lui, à l'occasion de ce mariage. Il était placé en face de sa femme, madame Joséphine, et avait à sa droite Madame Letizia. La place de sa gauche, destinée à une autre dame, restait vide, par l'absence de la personne invitée. Napoléon la remplaça vite par un général. Mais il paraissait contrarié de l'incident et témoignait ne vouloir pas, auprès de lui, d'autre dame que sa mère. Ainsi l'indique madame Récamier[1].

Les trois consuls habitaient le palais du Luxembourg, jusqu'à ce que Napoléon vînt fixer sa propre résidence au palais des Tuileries, le 19 février 1800. Il y reçut les autorités civiles et militaires, en passant le lendemain, au Carrousel, la mémorable revue, si bien retracée par le tableau d'Isabey. La mère du premier consul y assistait, avec les dames de sa famille et celles des hauts fonctionnaires, entourant madame Joséphine Bonaparte, au balcon et aux fenêtres du pavillon de l'Horloge.

L'offre du général Bonaparte à sa mère d'habiter les Tuileries ne put la décider à s'y établir. Le bruit et l'agitation, l'éclat et le luxe d'une demeure royale ne convenaient pas à ses scrupules de simplicité. Elle préférait à l'ancienne résidence des rois une demeure plus paisible. Ce fut le motif de son séjour prolongé rue du Rocher, dans la maison de l'aîné de ses fils. La mère si modeste du citoyen premier consul de la République s'étonnait qu'il eût choisi le palais de la royauté, sans présumer son aspiration à l'empire.

Croyant devoir saluer Napoléon de son nouveau titre consulaire, dans ce royal palais des Tuileries, Madame Letizia en avait franchi le seuil avec une sorte d'effroi. Elle semblait avoir pressenti le jour où son fils en sortirait, pour n'y plus rentrer. Femme d'une haute raison et d'une sage prévoyance, elle ne pouvait partager l'illusion de plusieurs des membres de sa famille sur la prodigieuse destinée de Napoléon. Elle tremblait, comme atteinte de vertige, de se voir entraîner elle même vers cette soudaine ascension. Dans ses rêves de malheurs passés, ou dans ses prévisions de malheurs futurs, elle croyait voir ses enfants tomber des hauteurs où ils étaient parvenus. Son entourage traitait de rêveries des craintes qui devaient, plus tard, s'accomplir, telles que de fatales réalités.

Ainsi, une seule personne de la famille du premier consul, c'était sa mère, envisageait, en silence et à l'écart, cette prodigieuse élévation du général Bonaparte au gouvernement de la France ! Elle se rappelait trop les épreuves difficiles des premiers temps de sa vie, pour ne pas pressentir, dans le présent, ainsi que dans le passé, les inquiétudes de l'avenir. Telle était, à l'origine du siècle, la pensée de Madame Bonaparte mère. C'est pourquoi elle évitait l'apparat de toute représentation officielle, en conservant les goûts de sa retraite, la modestie de son ameublement et la simplicité de sa mise habituelle.

Qui sait si, à l'exemple de sa mère et pour des motifs différents, Napoléon Bonaparte n'imitait point cette simplicité dans sa tenue militaire, lorsqu'il portait un uniforme uni et un chapeau sans plumet, à la tête de son état-major, resplendissant de broderies, de panaches et de décorations ?

Telle se présentait Madame Bonaparte mère, en se voyant obligée de prendre place, avec une mise d'un goût sévère, auprès des toilettes éblouissantes de ses filles et belles-filles, rivalisant de luxe avec la parure de la femme du chef de l'Etat.

Cependant la vie du premier consul se trouvait menacée, à la fois, par les hasards de la guerre, par les conspirations de la haine ou par les guets-apens de la vendetta. Sa mère pouvait seule pressentir de tels dangers ou les signaler à son fils, avec plus de confiance que n'eût osé le faire sa propre femme, si tendre que fût son attachement conjugal. C'est pourquoi Napoléon parut céder aux appréhensions de sa mère, en se prémunissant davantage contre les périls occultes. Il forma, dans de telles conditions, la garde consulaire, commandée par le général Lannes, et choisit Junot comme gouverneur de Paris, ceux-là, du moins, lui étaient absolument dévoués.

Un publiciste de l'époque dit, à cet égard[2] : Les complots, qui peu à peu éclatèrent contre la personne du premier consul, prouvent que ces précautions n'étaient pas inutiles ! On pourrait ajouter que si les menaces de la politique étaient redoutables, les dissentiments de la famille devaient être déplorés.

Dans un chapitre de ses mémoires, sous le titre de la Tabatière cassée[3], Lucien raconte le mouvement de colère auquel Napoléon s'était laissé emporter contre lui, au sujet d'une scène antérieure à celle-là, entre ses deux frères Joseph et Lucien. Leur mère attristée, en conserva une pénible impression. Le premier consul, irrité d'un reproche que lui adressait l'ex-président du conseil des Cinq-Cents, avait brisé en éclats sa tabatière, ornée d'un portrait de Joséphine par Isabey, et ce portrait s'était détaché du couvercle, en tombant sur le parquet.

Joséphine, superstitieuse comme une créole, en apprenant cet accident, occasionné par la colère de son mari, en fut d'autant plus inquiète que, déjà, elle l'interprétait avec le pressentiment de son divorce. Sa fille, devenue la reine Hortense, se trouvant à Rome, de longues années après, chez Madame, lui rappelait combien l'impératrice avait été alarmée de la chute de ce portrait.

Lucien rectifie quelques erreurs de la publicité de cette anecdote et en atténue les effets, par affection fraternelle pour ses deux aînés, en disant : « Le fait est que tous les enfants de Charles Bonaparte et de Letizia Ramolino sont nés bons et s'aimaient beaucoup entre eux, avant que la politique vînt les diviser. » En effet, mère, frères et sœurs de Napoléon s'unissaient dans leur tendresse pour lui, chef de l'État, sans ignorer les droits d'aînesse de Joseph à leur déférence. Madame Letizia en aurait d'ailleurs rappelé le devoir aux siens, s'ils l'eussent oublié ou méconnu.

Il ne devait pas en advenir ainsi, par l'alliance des Bonaparte et des Beauharnais. Un éloignement se manifesta entre eux, dès le mariage de Napoléon avec Joséphine et ce sentiment s'accentuait de plus en plus, à l'époque du consulat.

Madame Bonaparte mère, selon la dignité de son caractère et de sa position, s'abstenait seule des signes de désaccord entre les deux familles. Sa présence suffisait pour imposer aux siens la réserve nécessaire à son égard.

Elle venait à la Malmaison, le décadi (dixième jour de la décade, dans l'année républicaine). Ce jour était choisi par Napoléon pour recevoir là les siens et quelques amis. Voici, à ce sujet, une note des Mémoires inédits de l'architecte Fontaine[4] : Le premier consul se plaît à la Malmaison et il y vient assez régulièrement, tous les dix jours, accompagné de madame Joséphine Bonaparte, de ses aides de camp Murat, Junot, Duroc, des officiers généraux Lannes, Bessières, du ministre Lucien son frère, de son frère aîné Joseph, de Louis et de Jérôme qui étudie à Juilly ; nous y voyons peu madame Leclerc (Pauline)... Madame Bonaparte la mère, jeune et fraîche encore M. Fesch ; voilà la société du décadi.

Napoléon, d'après un historien de sa famille[5], tirait beaucoup de force pour ses opérations militaires, du silence qu'il gardait, lorsqu'il le jugeait utile. Il le prouva envers l'Autriche, en 1800. On trouve dans une lettre du 19 mai, écrite de Martigny et adressée à ses deux collègues, les consuls, la phrase suivante : Je lis dans les journaux que l'on me fait écrire à ma mère une lettre, dans laquelle je dis que je serai à Milan, dans un mois. Cela ne peut pas être dans mon caractère. Bien souvent je ne dis pas ce que je sais, mais il ne m'arrive jamais de dire ce qui sera. Je désire que vous fassiez mettre, à ce sujet, une note dans le Moniteur, sur le ton de la plaisanterie. Napoléon avait d'autant plus le droit de parler de la sorte, que s'il eût adressé, par lettre, une fausse nouvelle à quelqu'un, ce n'eût pas été à sa mère.

Il était déjà loin, quand une vraie nouvelle, de la seconde campagne d'Italie, arriva en France, annonçant la victoire de Marengo. Napoléon venait d'y prendre une part active, avec le général Desaix, à peine revenu d'Egypte, pour être tué, dans une charge décisive, au moment où il partageait, avec ses dangers, la gloire du premier consul.

Mais de cette gloire vint la haine des ennemis de Napoléon qui les appelait des jacobins. De là aussi le mécontentement de Lucien, ne partageant pas les mêmes opinions politiques, quoique le premier consul reconnût son dévouement, le jour du 18 Brumaire. De là enfin l'inquiétude secrète de Madame Bonaparte mère sur la destinée de ses deux fils. Sa première consolation fut, après la victoire de Marengo, la conclusion de la paix. Dieu, pensait-elle, avait exaucé ses vœux. Un Te Deum était chanté, d'autre part, avec pompe, à la cathédrale de Milan et le premier consul accordait une pension nationale à la veuve de Desaix.

De telles décisions touchaient juste le cœur de Madame Letizia, en faisant du bien à sa santé. Ce fut pour elle l'occasion d'entreprendre, d'après l'avis de ses médecins, une cure thermale à Vichy et son frère, l'abbé Fesch, adressa de ses nouvelles, par la lettre suivante, à son fils aîné[6] :

Vichy, 23 messidor an VIII.

Nous arrivons à Vichy, en trois jours, en bonne et parfaite santé, sans autre accident que celui de notre malle, qu'on nous vola, en traversant Paris. Votre mère a déjà commencé à boire. Nous passerons ici tout le mois de thermidor.

Donnez-nous de vos nouvelles ; embrassez pour nous Julie.

Madame Clary a commencé aussi à boire et à se baigner. Je vous embrasse avec toute l'amitié que vous me connaissez.

FESCH.

Cette lettre, sans importance, permet d'après la date, d'y rallier d'autres faits. C'est ainsi que, vers le même temps, Lucien perdait sa première femme, née Christine Boyer, à peu près de son âge, lorsqu'il venait d'acheter pour elle, aux environs de Senlis, le domaine de Plessis-Chamand. Ce mariage d'inclination avait déplu au consul, qui le considérait comme une mésalliance, tandis que cette union avait trouvé grâce auprès de Madame Bonaparte mère. Elle aimait assez madame Christine et lui en donna des témoignages, en aimant aussi ses deux petites-filles. Au moment enfin de la mort de leur mère, Joseph Bonaparte et Madame Letizia firent auprès de Napoléon d'affectueuses démarches, pour effacer en lui les impressions défavorables de ce mariage, contraire à ses vues politiques. Lucien dit à cet égard[7] : ... Ma mère, presque aussi affligée que moi, de la perte de ma Christine, vient me trouver au Plessis. Elle me décide à retourner avec elle à Paris. Résigné et non consolé, j'espère trouver dans le travail de mon ministère, délaissé depuis un mois, une sérieuse et utile distraction.

A proximité de Senlis également, Joseph Bonaparte avait acheté le château de Mortefontaine, rapproché de Plessis-Chamand. Ce voisinage des deux frères permettait à leur mère de les voir souvent, l'un et l'autre, en séjournant à la campagne comme elle avait demeuré à Paris, chez son fils aîné. Ce fut là que Joseph, ayant invité le premier consul à un dîner de famille, y avait naturellement invité leur mère. On allait passer à table, après une promenade dans le parc de ce beau domaine. Joseph annonça au consul son intention de donner le bras à leur mère, pour se rendre à la salle à manger, en offrant à Madame de l'asseoir à sa droite, tandis qu'il prierait madame Joséphine Bonaparte, conduite par son mari de prendre, vis-à-vis, la place correspondante. Le consul se montra froissé de cet arrangement. Il aurait même prescrit à son frère aîné de placer leur mère en seconde ligne et non à la première place. Joseph n'en tint pas compte, prit la main de sa mère, tandis que Lucien offrait le bras à Joséphine, sans empêcher Napoléon de le devancer, d'un pas rapide et de la mettre à sa droite, en face de son frère aîné qui avait eu raison d'offrir à leur mère le premier rang. C'était simple, correct et conforme à l'étiquette, quoique Madame mère n'attachât pas le moindre intérêt à ces préséances d'usage ou de convention, pourvu qu'elle se trouvât au milieu de ses enfants.

Le récit du dîner de Mortefontaine est raconté en détail dans les Mémoires posthumes de madame de Rémusat, autrement qu'elle ne l'eût fait dans ses lettres d'autrefois.

Louis et Jérôme étaient trop jeunes, pour prendre part aux délibérations de la famille. Mais sur les questions intérieures, la personne la plus autorisée, par son caractère, par son jugement, par son expérience, et par sa tendresse de mère à toute épreuve, Madame Letizia Bonaparte n'était pas même consultée par son fils, le premier consul, qui dût le regretter plus tard.

Il s'agissait pourtant de la question, alors la plus grave, pour assurer l'avenir, en assurant un successeur au chef de l'État. Or Joséphine, malgré le charme de sa personne et son attachement conjugal, ne paraissait plus apte à garantir un fils héréditaire à son second mari. Les médecins les plus autorisés à le dire, consultés par le premier consul, étaient impuissants à lui en donner l'espoir, encore moins la certitude. Joséphine avait d'ailleurs un intérêt personnel à ne pas désirer une couronne. Madame Letizia ne le souhaitait pas davantage à son fils Napoléon et pressentait avec regret ses aspirations ambitieuses.

Lucien reproduit à cet égard, une assez longue lettre, attribuée à Clément de Ris et adressée à Fouché, sous le Consulat. Un passage fait mention de Madame Letizia et en voici l'extrait[8] :

Bonaparte est trop grand pour écouter qui que ce soit. Tout ce qu'on peut, c'est d'éclairer sa famille sur ses vrais intérêts, c'est d'obliger sa mère, sa femme et ses frères à s'occuper de leur avenir et à ne pas le faire dépendre d'un caprice de la fortune ou de l'audace d'un jacobin.

Pour tout ce qui tient à sa position personnelle, Buonaparte à un conseil de famille. Sa mère et ses frères (Joseph et Lucien) composent ce conseil domestique ; Clarke s'y trouve quelquefois, il se tient à Maisons. Toute la famille a beaucoup de déférence pour la mère. On la dit dévote. On assure qu'elle ne croit pas à la stabilité de ce qui est. A la suite d'une scène assez vive entre le consul et son frère Lucien, celui-ci lui donne brusquement sa démission[9]. Puis il ajoute : De son côté, ma mère, fort inquiète, m'engage à m'absenter et à l'accompagner en Italie. Ce projet, paraît-il, déplut fort au premier consul, qui reprocha à notre mère la prédilection qu'elle avait pour moi. Si vous étiez à sa place, aurait répondu Madame Letizia, ce serait vous que je protégerais. A ce moment, Talleyrand intervint, en bon apôtre, médiateur, pour me conseiller de demander l'ambassade de Russie ou celle d'Espagne. Inexpérimenté, comme je l'étais encore, j'acceptai. Vingt-quatre heures après, mon brevet d'ambassadeur m'était expédié pour Madrid. Ma mère se montra satisfaite de ma brillante disgrâce.

Madame Bonaparte mère restait cependant inquiète de la situation du premier consul, sans cesse menacé par ses ennemis. Elle reconnut, aussitôt après l'explosion de la machine infernale, que son fils n'avait qu'une mère et qu'elle seule était cette mère. Elle n'était point à la représentation de l'Opéra, où le premier consul, Joséphine et Hortense, allaient entendre le magnifique Oratorio de Haydn ; mais, dès qu'elle apprit, peu d'instants après, à quel épouvantable danger son fils venait d'échapper, par miracle, sa première pensée fut de rendre grâce à Dieu de l'avoir sauvé. Elle pressentit que les révolutionnaires préparaient une autre destinée au premier consul. Tel pouvait être le complot tramé par les Corses Ceraschi et Arena, complot découvert et avorté, dont la mère des Bonaparte se montrait confuse, parce que les conspirateurs étaient ses compatriotes. La colère de Napoléon fut moins vive que l'indignation publique, et sa mère le supplia de ne plus s'exposer ouvertement à de nouveaux attentats.

 

 

 



[1] Souvenirs de madame Récamier, 2 vol., 1860.

[2] Mémoires de Miot de Mélito, 3e édit. 1880, t. Ier.

[3] Lucien Bonaparte et ses mémoires. Éd. Th. Yung, 1882, t. II.

[4] Le Château de la Malmaison, par M. de Lescure, 1867, 1 vol.

[5] Histoire de Napoléon Ier, par le baron Du Casse, 1867.

[6] Copie de l'autographe aux archives de la Bibliothèque nationale.

[7] Lucien Bonaparte et ses mémoires. Éd. de 1880, t. II.

[8] Lucien et ses mémoires, édit. de Th. Yung.

[9] Lucien Bonaparte et ses mémoires. Éd. Th. Yung, t. Ier.