En
1669, après huit années d'une existence dont le récit, lu dans un roman, lui
eût jadis paru invraisemblable, Mme de La Vallière entrait seulement dans sa
vingt-cinquième année. Une autre plus ambitieuse eût été prise de vertige,
soit en se retournant du haut de son élévation vers son point de départ, soit
en abaissant les yeux vers l'abîme de l'abandon. L'heureux naturel de Louise,
comme il l'avait préservée de l'exaltation, la défendit du découragement. Il
était difficile cependant qu'au lendemain de si beaux jours, dont elle
n'avait jamais voulu prévoir le terme, cette jeune femme retrouvât du premier
coup la notion juste du devoir. Dans sa famille, on l'encourageait à rester à
la cour. Élégante et amie des belles choses, elle avait pris goût à une vie
somptueuse. Elle était femme enfin, et froissée dans son amour propre ; elle
était duchesse mère de deux enfants légitimés du roi. Avant de retrouver la
vérité, il lui fallait encore passer d'une désillusion à une illusion. Ces
distinctions mondaines, ces hommages, ces succès, qui disparaissaient avec la
faveur du maître, elle voulut les obtenir par son seul mérite. Elle s'établit
donc dans sa dignité de duchesse et dépensa sans compter tout l'argent que
Colbert, qui comptait bien, remettait entre ses mains toujours ouvertes. Elle
aimait les belles pierreries et acheta une partie de celles qu'avait
abandonnées dans sa fuite la duchesse de Mazarin. Son luxe, d'ailleurs, était
toujours simple et de bon goût[1]. On en peut juger par un
détail. Elle possédait à Carrières, sur le bord de la Seine, un bain
admirablement bien installé ; de petites salles dans un goût rustique ; une
table et des sièges de gazon. Après le bain, on se régalait de crème et de
pain bis, tels qu'on les trouvait au hameau voisin. Puis,
ce fut une autre fantaisie. Cet esprit inquiet eut des velléités d'étude, des
prétentions à la science philosophique, à la controverse religieuse. Quoique
sincère, la passion de Louise n'en avait pas moins engendré sa conséquence,
et, pour parler le langage chrétien, le péché obscurcissait la foi. On
s'accommodait alors assez volontiers d'une sorte de religion naturelle ; au
confesseur sévère, on substituait quelque professeur aimable de la
philosophie de Gassendi. C'est le temps où Madame Henriette elle-même
s'annonçait comme devant travailler méthodiquement à la recherche de la vraie
religion. Louise de La Vallière ne put échapper à cette mode. Par nature,
elle aimait à s'instruire. Elle avait lu les romans, puis les histoires. Elle
en vint à l'étude, si on peut appeler ainsi ces caprices féminins, des
théories d'Aristote et de Descartes[2]. A l'en croire, elle se serait
trouvée un jour toute remplie des maximes de ces philosophes. Nous ne l'en
croirons point. A une époque qu'on ne peut préciser, mais certainement avant
le mois de mai 1670, Louise de La Vallière tomba gravement malade. La nature
de sa maladie nous est inconnue. Elle paraît l'avoir attribuée à quelque
contagion. Son amie, Mme de Montespan, sa chère Mme de Roure et plusieurs
autres clients de la Voisin en ont peut-être su davantage. En peu
de jours, presque subitement, Louise passa de santé à maladie, de maladie à
péril de mort. A cette heure suprême, où le tableau de sa vie entière se
représente sans retouche aux yeux du mourant, cette femme de vingt-cinq à
vingt-six ans se vit avec effroi couverte de crimes, sans pénitence, sans
confession, « toute prête de recevoir le dernier coup de la mort ». « Ainsi
qu'une pauvre criminelle sur l'échafaud, elle avait impatience de voir finir
tous ces funèbres apprêts. » C'était, on le croyait du moins, l'agonie. Elle
l'a dit elle-même : « Les prêtres d'un côté, les médecins de l'autre,
parloient aussi peu sûrement sur ma vie que sur mon âme. Comme une pauvre
bête, je ne pouvois rien pour mon salut[3]. » Alors, du fond du cœur, elle
cria au ciel miséricorde, et la miséricorde céleste descendit sur elle. La
jeune femme, la jeune mère éprouva cette sensation si douce à tout être
vivant, et particulièrement aux êtres jeunes, la joie du retour à la vie. Cette
vie retrouvée et cette santé qui chassa la maladie aussi vite qu'elle était
venue[4], Louise résolut de les offrir à
Dieu. Un confesseur indulgent voulait aussitôt l'admettre à la communion,
mais cette âme délicate, où reparaissaient les vives impressions de la piété
du jeune âge, ne sentit que son indignité. La favorite, la maîtresse du roi,
l'aimable créature contre laquelle personne n'avait osé s'élever[5], éleva la voix contre
elle-même. Eloignant ce « confesseur faible, politique et prévaricateur de la
parole divine, qui songe plutôt à plaire qu'à sauver », elle refusa cette
absolution hâtive, qui ne lui eût donné qu'une fausse paix[6]. « Le moyen, Seigneur, de vous
offrir un sacrifice pur et qui soit agréable à vos yeux avec un esprit tout
rempli des vanités du monde et un cœur tout occupé de sa passion ? Le moyen
de vous loger sans profanation dans la même demeure d'où à peine ai-je chassé
pour un moment vos plus cruels ennemis ? « Donnez-moi
ce cœur contrit et humilié dont vous ne rejetez jamais les gémissements ; je
veux dire. Seigneur, inspirez-moi par votre sainte grâce ces mêmes
dispositions avec lesquelles la pauvre Chananéenne se vint prosterner à vos
pieds. « Regardez-moi
quelquefois, en m'approchant de vous, comme cette humble étrangère ;
j'entends, Seigneur, comme une pauvre chienne qui s'estime trop heureuse de
ramasser les miettes qui tombent de la table où vous festinez vos élus. « Regardez
avec pitié cette pauvre pécheresse qui, encore tout enflammée du feu de ses
convoitises, vous demande comme la Samaritaine une goutte de cette eau vive
avec laquelle vous étanchâtes tout d'un coup dans son âme la source et la
soif du péché. « Mais
surtout, regardez-moi sans cesse comme Madeleine, et faites que, comme cette
sainte pénitente, j'arrose vos pieds de mes larmes, et qu'en tâchant de vous
aimer beaucoup, j'essaye d'effacer la multitude de mes crimes. » Rappelons-nous
la confession de Mme de Longueville, faite en 1661, alors que Louise revenait
à Paris de son premier voyage à Fontainebleau. Ces cris de pénitence échappés
à l'âme fière et ardente de la sœur du grand Condé, on les retrouve sur les
lèvres de l'humble La Vallière. Nous ignorons ce que Dieu seul a vu ; mais,
aux yeux des hommes, Louise repentante est, sinon plus sincère, au moins plus
simple que la princesse. Mme de Longueville s'étudie, analyse ses scrupules,
s'accuse de ne pas s'accuser ou de s'accuser trop, de ne pas s'humilier ou de
trop se complaire dans son humilité. Louise s'exprime presque toujours avec
naturel. Échappée au péril de mort, mais encore couchée dans ce lit où elle
s'était vue comme dans un cercueil, elle écrivit de sa main le registre des
miséricordes de Dieu envers elle. Ses
réflexions se résument en peu de mots. Louise demande le don d'une foi vive
et ferme, d'une foi prouvée par les œuvres. Elle
demande la vertu de charité : « Qu'une charité semblable à celle que je
désire que vous ayez pour moi, soit toujours la mesure de la mienne envers
mon prochain ; que j'aime son âme plus que ma vie ![7] » Elle
prie Dieu de lui apprendre à le mieux prier. Enfin, sa pensée se reporte vers
la mort qui l'a relâchée, mais la reprendra plus tard. « Ah !
Seigneur, qui ne faites jamais de miracle pour rien, n'est-ce pas pour voir
accomplir dans mon âme les desseins de votre grâce que vous m'avez rendu la
vie ! « Oui,
Seigneur, je reconnois vos grâces dans vos justices mêmes, et un continuel
regard de votre Providence sur mon âme, dans tous les accidents de ma vie. « Car
voilà pourquoi vous m'avez affligée, pourquoi vous me troublez et changez
sitôt mes désirs et tous mes sentiments, que je ne me reconnois quasi plus
moi-même. « Et
voilà ce qui fait auss i qu'après avoir protesté avec une fidélité inviolable
de vous servir, de vous aimer, et de mourir plutôt mille fois que de retomber
jamais dans mon égarement, j'écris ce papier de ma propre main, comme un
registre de vos miséricordes, de mes plus intimes résolutions et de toutes
vos adorables vérités ; « Afin que, toutes les fois que je m'oublierai
moi-même, je me retrouve dans ce crayon que votre grâce me fait tracer sur le
modèle que je dois être ; « Afin
que, quand les faux brillants du monde m'imposeront de ces espérances vaines
qui m'ont tant de fois trompée, je vienne m'en désabuser en les pesant au
poids de leur juste valeur, c'est-à-dire en les regardant comme je les
regarde présentement, et comme je les regarderai certainement à l'heure de ma
mort. « Afin
que, si je puis jamais oublier ce spectacle de mon agonie et de votre
justice, où, ainsi qu'une pauvre criminelle sur l'échaffaud, j'avois
impatience de voir bientôt finir tous ces apprêts de la mort, je me
reconnoisse encore en lisant cet écrit dans le même lit où les médecins, d'un
côté, et les prêtres de l'autre parloient aussi peu sûrement sur ma vie que
sur mon àme, et où, comme une pauvre bête, je ne pouvois rien pour mon salut. « Oui,
Seigneur, j'écris de ma propre main cet abrégé de vos miséricordes et de la
vérité de vos jugements sur tous les pécheurs, afin d'y pouvoir lire tous les
jours l'arrêt de mon éternelle réprobation, si j'abuse de vos bontés, et une
certitude démon salut et de l'éternelle jouissance de vous-même, si je vous
suis fidèle. « Ô
Dieu de mon salut, qui tenez mon âme et mon éternité entre vos mains ; vous
qui venez me retirer de la poussière du tombeau, qui me couronnez de
miséricordes, et qui remplissez mon âme de tant de saints désirs, afin de la
renouveler comme la jeunesse de l'aigle ; « Enfin, vous, ô mon Dieu !
qui tirez de l'énormité de nos crimes le sujet de vos miséricordes, et qui
seul pouvez nous convertir, convertissez mon cœur ; « Parce que mon âme est
humiliée, et que l'affliction de vous avoir déplu me perce de crainte et de
douleur ; « Parce que mon âme a mis toute sa confiance en vous, et qu'elle ne
fait plus ici-bas que languir après votre aimable présence. «
Enfin, Seigneur, ayez pitié de moi, parce que je suis pauvre et misérable, et
que vous êtes infiniment riche et miséricordieux[8]. » On a
pensé que ces réflexions dataient de quelques mois à peine avant l'entrée de
Louise aux Carmélites. C'est une erreur. Si la convalescente a songé à ces
pieuses recluses, ce n'est que pour chercher une opposition à elle-même, « pauvre
créature attachée à la terre[9] ». Tout l'ouvrage atteste qu'à
l'heure où elle écrivait, Louise n'avait encore formé aucun projet de
retraite. Au contraire : « Ce sera au milieu des personnes qui n'adorent que
leurs intérêts que j'irai confesser que vous êtes mon Dieu, le seul et l'unique
adorable. je leur apprendrai que ma fortune est entre vos mains, et que,
lorsque vous aurez achevé de me convertir, je serai plus glorieuse que si
j'avois fait la conquête du monde[10]. Ô mon Dieu, créez en moi un
cœur nouveau, un cœur véritablement chrétien qui fasse que je vous aime quand
il faudra exposer ma fortune et ma vie pour la confession de votre nom et
rendre hommage à la folie de la croix, au milieu d'un pays et d'une nation
qui la regardent comme un scandale[11]. » Celle
qui s'exprime ainsi est encore mondaine. Elle veut avoir péché « par la
vivacité de son esprit ». Les bons mots, « qui percent le prochain jusqu'au
vif, ces détractions délicates qui, sous un air de raillerie, nous peignent
ses défauts et nous l'impriment en ridicule », cette femme inoffensive s'en
accuse comme de « ses péchés favoris[12] ». Cette La Vallière, si
discrète, si modeste, qui n'avait rien demandé ni pour elle ni pour les
siens, qui rougissait d'être duchesse, elle se dit encore : « Que je ne
m'imagine pas être sans orgueil et sans amour-propre parce que je méprise le
monde et que je ne veux devoir qu'à mon propre mérite les distinctions que la
Fortune me refuse[13]. » D'autres
passages, moins exaltés, plus véritablement chrétiens, démontrent également
qu'à cette époque de sa vie, Louise se croyait encore appelée à rester à la
cour : « Que
si pour m'imposer une pénitence en quelque façon convenable à mes offenses,
vous voulez que, par des devoirs indispensables, je reste encore dans le
monde pour y souffrir sur ce même échafaud où je vous ai tant offensé, si
vous voulez tirer de mon péché ma punition même, en faisant devenir les
bourreaux de mon cœur ceux que j'en avais fait les idoles : Parcitum cor
meum, Deus ! paratum cor meum ! Pourvu que vous m'y conserviez,
et que les dégoûts que j'y sens me soient un préservatif suffisant pour me
garantir d'y être empoisonnée par l'air contagieux qu'on y respire
incessamment[14]. « Oui,
Seigneur, quelque engagement que j'aie avec ces libertins de profession, qui
ne peuvent servir qu'à nous inspirer de l'irréligion et qu'à flétrir la
réputation la plus pure, qu'à nous donner une présomptueuse opinion de
nous-mêmes ; quelque dégoût que j'aie pour leur esprit et pour leurs
personnes, je serai fidèle, ô mon Dieu ! à m'éloigner autant qu'il me
sera possible de leur commerce et de leur amitié. Car n'est-ce pas le moins
que je vous puisse rendre pour m'avoir tant aimée que de haïr la compagnie de
ceux qui ne vous aiment pas ?[15] «
Seigneur, qui portez le cœur de l'homme où il vous plaît, changez toutes mes
amitiés. Car vous savez, Seigneur, combien aisément je prends les impressions
des choses que je vois et des personnes que je fréquente ; avec combien de
facilité je fais le bien avec les bons, et je pratique le mal avec les
méchants[16]. « Car,
hélas ! je suis si foible et si changeante que mes meilleurs désirs
ressemblent à cette fleur des champs dont parle votre Prophète-Roi, qui
fleurit le matin et qui sèche le soir[17] ». — « Ne vous contentez pas de
m'avoir dégoûtée de ce momie, de m'en voir éloignée plutôt par un esprit
d'orgueil et un effet de ma raison, que par un pur motif de votre grâce.
Préservez-moi du doux poison dé» plaire à ce monde et de l'aimer ». Que
Louise ait fait ce retour sur elle-même longtemps avant sa retraite aux
Carmélites,. peu après son abandon' par le roi, un passage de ces réflexions
suffit à le prouver : « Ne permettez donc pas, mon Dieu, que je me tienne en
assurance pour me voir simplement dégoûtée de mon péché, pendant que j'en
garde peut-être toute la délicatesse et toutes les passions ; « Que
je ne me flatte pas de n'aimer plus la créature, parce que je ne cherche plus
dans son amitié que des plaisirs innocens ; « Que
je ne me flatte pas d'être morte à mes passions,, pendant que je les sens
revivre plus fortement que jamais dans ce que j'aime plus que moi-même, - et
d'autant plus dangereusement, que mon amitié, qui semble vouloir me les
justifier, m'empêche d'écouter ma raison et de suivre les saintes
inspirations de votre grâce[18] ». Qui
aime-t-elle plus qu'elle-même ? Chez qui revivent ces passions ? C'est Louis
qu'elle aime toujours et qui est passionné pour la Montespan. Cette amitié
qu'elle se reproche, c'est ô. mystère du cœur, celle que -son excessive bonté
met au service de sa rivale et de l'infidèle. Très
vraisemblablement, ces réflexions, écrites en quelques jours, ont subi, par
la suite, des additions' et des retouches, mais on sent que tous les traits
primitifs y sont demeurés, et qu'elles représentent bien l'âme de La Vallière
à l'heure où suivant son expression, Dieu lui fit Gon, naître son péché. Par
un sentiment encore imparfait, elle veut expier sa faute au lieu même où elle
l'a commise : - Projet téméraire, volonté, présomptueuse ! Il n'est donné, à personne
de décider du mode d'expiation qui lui convient. Louise, encore orgueilleuse,
prétendait subir sa pénitence sur l'échafaud de la cour. Le Ciel, plus sévère
et plus clément à la fois, avait déjà résolu qu'elle aurait lieu tout
simplement dans une cellule de carmélite. On
possède sur cette phase nouvelle et décisive de la vie de Louise de La
Vallière un témoignage précieux. La princesse Palatine, seconde femme de
Monsieur, lui posa cette question qui occupe, de nos jours encore, les
esprits les plus délicats. « J'étais curieuse, c'est la Palatine qui parle,
de savoir pourquoi elle était restée si longtemps comme une suivante chez la
Montespan. Dieu, me dit-elle, avait touché son cœur, lui avait donné à
connaître son péché ; elle avait aussi pensé qu'il fallait faire pénitence et
souffrir ainsi ce qui était le plus douloureux pour elle, partager le cœur du
roi et se voir méprisée de lui. Dans les trois années après l'amour du roi,
elle avait souffert comme une damnée, et elle avait offert à Dieu toutes ses
peines en expiation de ses péchés passés ; car, puisque ses péchés avaient
été publics, il fallait aussi que sa pénitence fût publique. On la prenait
pour une sotte qui ne remarquait rien. et c'était précisément alors qu'elle
avait le plus souffert, jusqu'à ce que Dieu lui eût ainsi mis dans l'esprit
de ne servir que lui ; ce qu'elle avait fait[19] ». Ces trois ans après l'amour du roi, évidemment La Vallière les compte à partir de 1670. Elle en oubliait trois autres commencés en 1667 au plus tard. Les analystes du cœur humain connaissent maintenant celui de cette pauvre femme qu'on prenait « pour une sotte » et qui souffrait « comme une damnée ». |
[1]
Roger DE RABUTIN, Correspondance,
t. I, p. 184 (16 juillet 1669).
[2]
Réflexions sur la miséricorde de Dieu, t. I, p. 23, éd. Clément.
[3]
Réflexions, etc., vingt-quatrième réflexion.
[4]
En trois jours La Vallière fut rétablie et put écrire ses Réflexions.
[5]
L'Illustre pénitente, p. 48.
[6]
Réflexions sur la miséricorde de Dieu, huitième réflexion.
[7]
Dix-septième réflexion, Réflexions, etc., t. I, p. 70.
[8]
Vingt-quatrième réflexion, Réflexions, t. I, p. 99.
[9]
Dix-neuvième réflexion, Réflexions, t. I, p. 77.
[10]
Quinzième réflexion, Réflexions, t. I, p. 62.
[11]
Onzième réflexion, Réflexions, t. I, p. 45.
[12]
Dix-septième réflexion, Réflexions, t. I, p. 71.
[13]
Cinquième réflexion, Réflexions, t. I, p. 24.
[14]
Treizième réflexion, Réflexions, t. I, p. 52.
[15]
Quinzième réflexion, Réflexions, t. I, p. 63.
[16]
Seizième réflexion, Réflexions, t. I, p. 65.
[17]
Quatrième réflexion, Réflexions, t. I, p. 19.
[18]
Réflexions, t. I, p. 24.
[19]
Correspondance générale de la duchesse d'Orléans, t. II, p. 120.