PARIS - FURNE ET CIE - W. COQUEBERT - 1847
LIVRE VINGT-SEPTIÈME.
L'armée. – Dumouriez
se maintient dans l'Argonne. – Kellermann. – Miranda. – Camp de
Sainte-Menehould. – Position de Kellermann. – Le duc de Chartres. – Son
portrait. Valmy. – Victoire. – Retraite de l'armée prussienne. – Inaction. –
Persévérance de Dumouriez. – Il apaise les murmures de ses troupes. – La
république reconnue dans les camps.
LIVRE VINGT-HUITIÈME.
Négociations secrètes
aux armées. – Danton essaie de maîtriser la Révolution. – Dumouriez à Paris.
– Il s'entend avec Danton.
LIVRE VINGT-NEUVIÈME.
Fin de l'Assemblée
législative. – La Convention. – Dissidences. – La royauté. – La république. –
Les Girondins. – Collot-d'Herbois demande l'abolition de la royauté. – Les
Girondins l'adoptent. – Vergniaud propose la rédaction immédiate de l'acte de
déchéance.
LIVRE TRENTIÈME.
La république
accueillie avec unanimité. – Les Girondins chez madame Roland. – Accusation
contre Marat. – Apostrophe de Vergniaud. – Danton. – Robespierre. – Détails
intimes. – Scènes tumultueuses. – Marat. – Son portrait. – Rupture entre
Danton et les Girondins.
LIVRE TRENTE ET UNIÈME.
Diplomatie de
Dumouriez. – Westermann. – L'Ami du peuple. – Brissot tente de s'opposer aux
factieux. – Louvet. – Son portrait. – Il accuse Robespierre. – Il flétrit
Marat. – Réponse de Robespierre. – Barrère. – Fabre d'Églantine. – Lettre
confidentielle de Vergniaud. – Fonfrède. – Les partis se disputent la
popularité.
LIVRE TRENTE-DEUXIÈME.
Louis XVI et la
famille royale au Temple. – Description du Temple. – Manuel. – Tison et sa
femme. – Le cordonnier Simon et son aide Rocher. – Le roi séparé de sa
famille. – Cléry. – Toulan.
LIVRE TRENTE-TROISIÈME.
Les Jacobins forcent
les Girondins à se prononcer dans le procès du roi. – Saint-Just. – Son
portrait. – Il demande la mort du roi. – La Montagne. – Sa pensée – Thomas
Payne. – Disette à Paris. – Le clergé salarié. – L'armoire de fer. –
Dénonciations. – La populace autour du Temple. – Madame Roland à la barre. –
Robespierre demande que le roi soit jugé sans appel. – Vergniaud lutte pour
la vie du roi.
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