JEANNE D'ARC

 

TOME SECOND

APPENDICES.

 

 

  I — Lettre de Jeanne au comte d'Armagnac, telle qu'elle lui fut imputée dans son procès.

Jesus † Maria,

Conte d'Armignac, mon très-chier et bon ami, Jehanne la Pucelle vous fait savoir que vostre message est venu par-devers moy, lequel m'a dit que ravies envoie pardeçà pour savoir de moy auquel des trois papes, que mandez par mémoire, vous devriés croire. De laquelle chose ne vous puis bonnement faire savoir au vray pour le présent, jusqu'à ce que je soye à Paris ou ailleurs, à requoy ; car je suis pour le présent trop empeschiée au fait de la guerre : mes quant vous sarez que je seray à Paris, envoiez ung message par-devers moy, et je vous feray savoir tout au vray auquel vous devrez croire, et que en aray sceu par le conseil de mon droiturier et souverain Seigneur, le Roy de tout le monde, et que en aurez à faire, à tout mon pouvoir. A Dieu vous commans ; Dieu soit garde de vous. Escript a Compiengne, le XXIIe jour d'aoust. (Procès, t. I, p. 246.)

 

II. — Note sommaire sur les chroniqueurs du XVe siècle cités dans l'histoire de Jeanne d'Arc.

ABRÉVIATEUR DU PROCÈS, ouvrage écrit vers 1500, par ordre de Louis XII : histoire de Jeanne d'Arc, suivie de l'abrégé des deux procès, principalement du premier.

BASIN (Thomas), né à Caudebec, attaché au parti anglais jusqu'à la conquête de la Normandie en 1449, et depuis évêque de Lisieux. Il a publié sous le nom d'Amelgard une Histoire de Charles VII et de Louis XI. M. J. Quicherat a édité ses Œuvres historiques dans la Collection de la Société de l'Histoire de France.

BERRI (Jacques le Bouvier, dit), héraut d'armes. Sa chronique fut, jusqu'à Godefroy, attribuée à Alain Chartier. Elle commence à 1401 et va jusqu'en 1455 ; dans quelques manuscrits, jusqu'en 1458 et même jusqu'à la mort de Charles VII. II avait seize ans en 1402 ; il a été témoin des faits.

BOURGEOIS DE PARIS (le) : C'est un clerc de l'Université. Son journal, qui est d'un Bourguignon fougueux, offre un intérêt sans égal pour l'histoire de Paris en son temps.

GAGNY (Perceval de), fut attaché, comme il le dit lui-même, quarante-six ans à la maison d'Alençon. A ce titre il pourrait être suspect de peu de faveur pair la cour de France ; mais il écrit en 1436, quatre ans avant la Praguerie. Les défections et les châtiments du duc d'Alençon n'ont donc exercé aucune influence sur son récit. C'est un des plus importants.

CHARTIER (Jean), chantre de Saint-Denys, remplissait en 1449 les fonctions de chroniqueur des rois de France, rétablies pour lui dans l'abbaye de Saint-Denis, par Charles VII : récit fort circonstancié sur Jeanne d'Arc, probablement antérieur à la réhabilitation.

CHASTELLAIN (Georges) (1404-1474), historiographe de Philippe-le-Bon ; il n'est resté que le commencement et la fin (200 chapitres environ) de sa volumineuse histoire.

CHRONIQUE DE LA FÊTE DU 8 MAI : C'est, au jugement de M. J. Quicherat, le récit d'un vieillard qui parle des choses dont il a été témoin dans sa jeunesse.

CHRONIQUE DE LORRAINE (sous Charles VIII), récit légendaire.

CHRONIQUE DE LA PUCELLE. M. J. Quicherat la croit postérieure à Jean Chartier et au Journal du siège, par conséquent à 1467, à cause des parties communes dont il la suppose l'emprunteuse. M. Vallet de Viriville, qui en a donné une nouvelle édition, l'attribue à G. Cousinot, chancelier du duc d'Orléans, présent à Orléans pendant le siège. On peut admettre plusieurs des raisons qu'il donne pour établir l'origine et faire ressortir la valeur de cette histoire ; mais il y a, entre plusieurs de ses parties et les dépositions de Dunois, de L. de Contes, etc., de telles ressemblances, qu'on ne peut les rapporter au hasard ; et il parait bien téméraire de supposer que Dunois et les autres aient été, avant de déposer devant les juges de la réhabilitation, rafraîchir leurs souvenirs par la lecture de la Chronique de la Pucelle. Pour ces parties au moins, la Chronique doit donc être postérieure au procès de révision.

COCHON (Pierre), né dans le dernier tiers du XIVe siècle, était à Rouen au temps du procès de Jeanne. M. Vallet de Viriville a publié, sous le titre de Chronique normande, une partie de sa chronique. P. Cochon est ennemi des Armagnacs, mais peu ami des Anglais.

DUMFERLING (le religieux de), Écossais, a suivi Jeanne d'Arc et assisté à ses derniers moments ; mais sa chronique est mutilée au moment où commence l'histoire de Jeanne d'Arc ; il n'en reste qu'un court fragment.

EBERHARD DE WINDECKEN, trésorier de l'empereur Sigismond, a écrit l'histoire du règne de ce prince. Il a puisé ce qu'il dit de Jeanne d'Arc dans les relations officielles envoyées de France à l'empereur. Ce fragment a été donné par M. G. Gœrres, Die Iungfrau von Orleans, chap. XXVIII, et append.

FAUQUEMBERQUE (Clément de), greffier du parlement de Paris, a écrit des notes fort curieuses pour l'histoire du temps, sur le registre qu'il était chargé de tenir.

GRUEL (Guillaume), écuyer du connétable de Richemont. Écrivit son histoire ou plutôt son apologie, après sa mort, en 1458.

JOURNAL DU SIÈGE D'ORLÉANS, imprimé aux frais de la ville d'Orléans en 1576. M. J. Quicherat le croit rédigé en 1467, à cause de ses emprunts à Chartier et à Berri ; mais les détails du siège doivent être pris de registres du temps.

LEFEBVRE DE SAINT-REMI, conseiller du duc de Bourgogne et roi d'armes de la Toison d'or, écrivit ses Mémoires en 1460, à l'âge de soixante-sept ans.

MIROIR DES FEMMES VERTUEUSES, petite histoire de Jeanne d'Arc, fort populaire au temps de Louis XII ; la légende y tient une grande place.

MONSTRELET (Enguerrand de), célèbre chroniqueur bourguignon, attaché à la maison de Luxembourg ; mourut en 1453. On connaît sa partialité contre Jeanne d'Arc.

PHILIPPE DE BERGAME, né en 1433, publia en 1497 un livre De claris electisque mulieribus, où la légende domine l'histoire.

PIE II (Æneas-Sylvius-Piccolomini), pape, écrivit des Mémoires qui retracent l'histoire générale du quinzième siècle jusqu'en 1463. Il parle de Jeanne en son VIe livre.

ROGIER (Jean), mort en 1637, a composé un Recueil des chartes, titres, etc., de l'hôtel de ville de Reims, et une Histoire des habitants de Reims, depuis 1160 environ, d'après les lettres et pièces officielles qu'il avait recueillies.

SAINT-THIBAUD DE METZ (le doyen de), Chronique de Metz de 1337 à 1445, et liste chronologique des rois de France jusqu'à Charles VII, portant la date du 24 janvier 1460 (1461).

SALA (Pierre), au service de la maison royale, de Louis XI à François Ier : congédié comme trop vieux par François Ier à son avènement, il se retira à Lyon, où il écrivit ses Hardiesses des grands rois et empereurs.

THOMASSIN (Matthieu), né à Lyon en 1391 ; procureur général fiscal en Dauphiné sous Charles VII, puis président des comptes à Grenoble, fut chargé en 1456 par le dauphin Louis (Louis XI), de composer un livre sur l'histoire et les droits de la couronne delphinale. C'est le Registre delphinal.

WAVRIN DU FORESTEL (Jean de), combattait déjà à Azincourt, suivit J. Falstolf à la bataille de Patay. Il fondit ses propres récits dans une compilation de Froissart, Monstrelet, etc., qu'il appela Chroniques d'Angleterre. Il écrivit de 1455 à 1460.

Ces indications sont pour la plus grande partie empruntées aux notices de M. J. Quicherat. Nous y renvoyons pour les détails supplémentaires, comme pour les auteurs que nous avons eu moins souvent l'occasion de citer.

 

III. — Note sommaire sur les témoins entendus au procès de réhabilitation et cités dans l'Histoire de Jeanne d'Arc.

ALENÇON (Jean, duc d'), 50 ans en 1456. On sait combien la fin de son histoire répondit mal au commencement : la part qu'il eut à la Praguerie en 1440, ses intelligences avec les Anglais, et les condamnations qui le frappèrent sous Charles VII en 1458 et sous Louis XI. Il mourut en 1478.

ARNOLIN (Henri), de Gondrecourt-le-Château, prêtre, a vu Jeanne à Domrémy.

AULON (Jean d'), chevalier, maitre d'hôtel de la Pucelle, plus tard conseiller du roi et sénéchal de Beaucaire.

BAILLY (Nicolas), notaire royal à Andelot ; chargé par Pierre Cauchon de prendre à Domrémy des renseignements sur Jeanne.

BARBIN (Jean), avocat du roi au Parlement : a vu Jeanne à Poitiers.

BEAUCROIX (Simon), écuyer ; était à Chinon à l'arrivée de Jeanne,

BEAUPÈRE (Jean), maître en théologie, l'un des premiers suppôts de l'Université de Paris, recteur en 1413 ; l'un des principaux auxiliaires de P. Cauchon dans le procès. Il assista au concile de Bâle comme député de Normandie. Il était, en 1449, chanoine à Rouen.

BORDES (André), chanoine d'Orléans.

BOUCHER (Pierre), prêtre, a vu Jeanne à Rouen.

CAVAL (Nicolas), chanoine de Rouen, un des assesseurs ; n'assista pas à la condamnation.

CHAMBRE (Guillaume de La), maître ès arts et en médecine, âgé de 48 ans en 1456 ; un des assesseurs.

CHAMPEAUX (Jean), d'Orléans ; y était pendant le siège.

CHARLES (Simon), maître des requêtes en 1429, et depuis président de la chambre des comptes ; a vu Jeanne à Chinon.

COLIN (Jean), curé de Domrémy : a entendu Jeanne en confession.

COLIN, fils de Colin de Greux, laboureur ; 50 ans en 1456.

COLLES (Guillaume) dit Boisguillaume, curé de Notre-Dame-la-Ronde de Rouen, greffier de l'officialité de Rouen, l'un des greffiers du procès.

COMPAING (Pierre), chanoine d'Orléans ; y a vu Jeanne.

CONTES (Louis de), page de la Pucelle ; 42 ans en 1456.

COURCELLES (Thomas de), natif de Picardie ; âgé de 30 ans à l'époque du procès, et déjà recteur émérite. Il défendit la pragmatique-sanction au concile de Bâle, s'attira par là les bonnes grâces de Charles VII, dont il prononça l'oraison funèbre. Il mourut, en 1469, doyen du chapitre de Notre-Dame de Paris.

CUSQUEL (Pierre), bourgeois de Rouen.

DARON (Pierre), lieutenant du bailli de Rouen.

DÉSERT (Guillaume du), chanoine de Rouen, un des assesseurs.

DRAPIER (Perrin Le), de Domrémy.

DUNOIS (Jean, comte de), le Bâtard d'Orléans ; 50 ans en 1456.

DUVAL (Guillaume), dominicain, assiste au procès ; 45 ans en 1452.

ESBAHY (Jacques L'), bourgeois d'Orléans ; y a vu Jeanne.

ESTELLIN (Béatrix, veuve d'), de Domrémy, une des marraines de Jeanne.

FABRI ou LEFÈVRE (Jean), religieux augustin, plus tard évêque de Démétriade, un des assesseurs.

FARCIAULX (Robert de), chanoine d'Orléans.

FAVE (Jean), maître ès arts, était à Rouen pendant le procès.

FAY (Geoffroy du), écuyer ; 50 ans en 1456 ; a vu Jeanne avant sa mission.

FUMEUX (Jean Le), curé de Vaucouleurs ; 38 ans en 1456. Il a vu Jeanne étant encore enfant lui-même, à Vaucouleurs.

GARIVEL (François), conseiller ; 40 ans en 1456 ; a vu Jeanne à Poitiers.

GAUCOURT (Raoul de), grand maître de l'hôtel du roi ; 85 ans en 1456.

GÉRARDIN d'Épinal, habitant de Domrémy.

GROUCHET (Richard de), chanoine et maître ès arts ; un des assesseurs.

GUESDON (Laurent), bourgeois de Rouen.

GUILLEMETTE (Gérard), de Greux, laboureur ; 40 ans en 1456.

HAUVIETTE, femme de Gérard de Sionne ; 45 ans en 1456 ; amie de Jeanne.

HAVET (Charlotte, femme de Guillaume) ; 36 ans en 1458 ; fille de l'hôtesse de Jeanne à Orléans.

HENRI LE ROYER ou le Charron, de Vaucouleurs.

HENRI LE ROYER (Catherine, femme de), a reçu Jeanne à Vaucouleurs.

HOUPPEVILLE (Nicolas), bachelier en théologie ; se distingua par son refus d'assister au jugement.

HURÉ (Regnaulde, veuve), d'Orléans, où elle a vu Jeanne.

ISABELLE, femme de Gérardin d'Épinal, habitant Domrémy.

ISAMBARD DE LA PIERRE, religieux dominicain, acolyte du vice-inquisiteur Jean Lemaitre, et assesseur ; un de ceux qui montrèrent le plus de compassion pour la Pucelle.

JACOB, curé de Moncel ; 35 ans en.1456 ; a vu Jeanne, enfant lui-même, à Domrémy.

JACQUARD (Jean), fils de Jean Guillemette, de Greux ; 47 ans en 1456.

LACLOPPE (Bertrand), de Domrémy ; 90 ans en 1456.

LADVENU (Martin), dominicain ; a confessé Jeanne avant sa mort et l'a accompagnée jusque sur le bûcher.

LAXART (Durand), de Burey-le-Petit, oncle de Jeanne.

LEBUEN (Michel), de Domrémy, laboureur ; 44 ans en 1456.

LEMAIRE (Jean), curé de Saint-Vincent de. Rouen ; 45 ans en 1456.

LEMAÎTRE (Husson), chaudronnier, de Rouen.

LÉNOZOLIIS (Jean de), religieux célestin, attaché à maitre Guillaume Érart au temps du procès.

LEPARMENTIER (Mauger), appariteur de la cour archiépiscopale de Rouen.

LUILLIER (Jean), bourgeois d'Orléans ; y a vu Jeanne.

MACY (Haimond de), chevalier ; a vu Jeanne à Beaurevoir et à Rouen.

MANCHON (Guillaume), curé de Saint-Nicolas-le-Painteur de Rouen ; greffier de l'officialité de Rouen, principal greffier du procès.

MARCEL (Jean), bourgeois de Paris ; a vu Jeanne à Saint-Ouen.

MARGUERIE (André), archidiacre du Petit-Caux, conseiller du roi d'Angleterre ; a pris part à tous les actes du procès.

MARIE (Thomas), prieur de Saint-Michel de Rouen ; était à Rouen pendant le procès.

MARTIGNY (Louis de), écuyer (enquête de Vaucouleurs).

MASSIEU (Jean), prêtre, doyen rural de Rouen, huissier au procès de condamnation.

MENGETTE, femme de Jean Joyart, de Domrémy ; 46 ans en 1456 ; amie de Jeanne.

METZ (Jean de Novelonpont, dit de), écuyer, le premier qui se prononça pour Jeanne : 57 ans en 1456.

MIGET ou MIGIET, prieur du couvent de Longueville-Giffard, dans le pays de Caux ; un des assesseurs.

MILET (Pierre), clerc ou greffier des élus de Paris.

MILET (Collette, femme de Pierre), était à Orléans au temps du siège.

MOEN (Jean, dit), charron de Domrémy.

MONNET (Jean), chanoine de Paris, secrétaire de Jean Beaupère ; 50 ans en 1456.

MOREAU (Jean), bourgeois de Rouen.

MOREL (Jean), de Greux, laboureur.

MUSNIER (Simonnin), de Domrémy, laboureur ; 44 ans en 1456.

NOYON (Jean de Mailly, évêque de) ; 70 ans en 1456 ; assista aux scènes de Saint-Ouen et du Vieux-Marché, mais se retira avant le supplice.

OURCHES (Aubert d'), chevalier (enquête de Vaucouleurs).

PASQUEREL (Jean), religieux augustin ; aumônier de Jeanne.

POULENGY (Bertrand de), écuyer ; celui qui, avec Jean de Metz, amena Jeanne de Vaucouleurs à Chinon ; 63 ans en 1456.

RICARVILLE (Guillaume de), panetier à la cour au temps de Jeanne, et depuis conseiller et maitre d'hôtel.

RIQUIER (Jean), curé de Heudicourt ; a assisté au supplice de Jeanne.

ROUSSEL (Raoul), docteur, trésorier de la cathédrale de Rouen ; un des assesseurs ; archevêque de Rouen en 1443.

SAINT-AIMANCE (Jacquier), de Domrémy.

SEGUIN, dominicain, doyen de la faculté de théologie de Poitiers ; un des docteurs chargés d'interroger la Pucelle à Poitiers.

SIONNE (Étienne de), curé de Neufchâteau ; a connu le curé de Jeanne.

TAQUEL (Nicolas), curé de Basqueville-le-Martel, greffier au procès de condamnation au nom du vice-inquisiteur.

TERMES (Thibaut d'Armagnac, dit de), chevalier ; bailli de Chartres ; a combattu avec Jeanne à Orléans et se trouvait avec elle au voyage de Reims.

THÉVENIN, charron, de Chermisey.

THÉVENIN (Jeanne, femme de), une des marraines de la Pucelle.

THIBAULT, écuyer ; élu pour les aides de Blois ; il a vu Jeanne à Chinon.

THIERRY, doyen de l'église de Mehun-sur-Yèvre ; a vu Jeanne à Chinon.

THIESSELIN (Jeannette), une des marraines de la Pucelle ; 60 ans en 1456.

TIPHAINE (Jean), prêtre, maitre ès arts et en médecine, chanoine de la Sainte-Chapelle de Paris, un des assesseurs.

TOUROULDE (Marguerite de La), veuve de René de Bouligny, conseiller du roi ; hôtesse de Jeanne à Bourges, au retour du sacre.

TOUTMOUILLÉ (Jean), dominicain ; a assisté Jeanne dans ses derniers moments ; n'a pas siégé comme assesseur.

VIOLE (Aignan), avocat au Parlement ; a vu Jeanne au siège d'Orléans.

WATTERIN (Jean), de Domrémy, laboureur ; 45 ans en 1456.

On consultera avec fruit, pour les principaux de ces témoins, les notes que M. J. Quicherat a jointes à son édition des procès la première fois qu'ils y apparaissent.