LIVRE PREMIER — VUES GÉNÉRALE - SYSTÈME MÉTRIQUE - VALEUR ET RAPPORT DES MÉTAUX - CENS ET CADASTRE.
Il n’y eut dans le principe à Rome d’autres monnaies que
celles qui entrèrent au trésor par la conquête. Servius en Italie, comme
Phidon dans L’unité monétaire primitive fut l’as de cuivre qui, jusqu’à la première guerre punique, pesa une livre romaine. Un passage de Varron, l’écrivain à la fois le plus érudit et le plus exact de l’ancienne Rome, ne laisse aucun doute à ce sujet. Il dit, en parlant du jugère : Id habet scrupula 288, quantum as antiquus noster ante bellum Punicum pendebat[5]. Or, la livre romaine contenait aussi précisément 288 scrupules. De plus, le denier d’argent valut originairement 10 as d’une livre ; c’est encore Varron qui nous l’apprend.. Le dixième du denier, dit-il, était la libelle, parce qu’elle valait une livre de cuivre[6]. Volusius Mæcianus confirme cette valeur par ce texte précis : Nam quum olim asses libriles essent et denarius deceni asses valeret, etc.[7] Maintenant, le denier d’argent est-il aussi ancien que l’as de cuivre ? Pline, à la vérité, dit que les Romains n’eurent de la monnaie d’argent qu’en 485, et en cela il est d’accord avec Tite-Live[8]. D’un autre côté, nous lisons dans un fragment des annales de Varron, conservé par Charisius[9] : Nummum argenteum conflatum primum a Servio Tullio dicunt ; is quatuor scrupulis major fuit quam nunc est. Ce passage formel, souvent débattu, et que Scaliger déclare altéré, a été admis par M. Bœckh avec quelques restrictions[10]. Mais le savant allemand est plus sévère pour un passage où Suétone raconte qu’Auguste distribuait parfois nummos omnu notœ, etiam veteres regios et peregrinos[11]. Il regarde comme une glose absurde ce mot regios qui ne se trouve pas dans le manuscrit de Viterbe. Nous serions donc réduits au seul témoignage de Varron, et, avec quelque restriction qu’on l’admette, il faut au moins y voir la preuve que Rome avait des monnaies d’argent avant 485 ; car il était impossible à quelqu’un qui avait vu des monnaies frappées depuis cette époque de les prendre pour des pièces du temps de Servius. Celles-ci en effet auraient été fondues comme les anciennes monnaies de cuivre ; car ce n’est pas sans motif que Varron a dit nummum conflatum, expression dont il se sert ailleurs[12] en parlant de la fonte des lingots. Au contraire, l’argent monnayé depuis 485 dut être frappé à la manière des monnaies grecques, et c’est sans doute par cette différente dans les procédés de fabrication qu’il faut expliquer l’apparente contradiction de Varron et de Pline. La monnaie d’argent n’a été frappée qu’à partir de l’an 485, auparavant elle était fondue. Mais elle a dû l’être, je crois, à une époque fort ancienne, et, quelle que soit la réserve qu’on remarque dans l’assertion de Varron, on peut, ce me semble, l’accepter dans toute son étendue. En effet Rome, de même que Mantoue, Vulci, Capoue et
d’autres villes de l’Etrurie, était dans l’origine, comme l’ont prouvé MM.
Orioli et Niebuhr, une tripolis, une
cité composée de trois éléments différents : latin, grec et étrusque. Ces
trois éléments, étroitement unis entre eux dans la même enceinte de
murailles, conservaient des relations suivies avec les sources d’où ils
étaient émanés. Rome se trouvait donc en rapport avec La réunion de toutes ces données historiques ajoute, ce me semble, une grande force au témoignage de Varron, et dispose tout naturellement l’esprit à accueillir plus favorablement celui de Suétone ; car s’il y a eu des monnaies d’argent frappées, ou plutôt coulées, sous les trois derniers rois de Rome, pourquoi quelques-unes de ces monnaies n’auraient-elles pas été conservées jusqu’au siècle d’Auguste ? Sous Trajan on trouvait bien encore, dans la campagne de Rome et dans les colonies, de vieilles bornes, posées pendant la domination des rois[16], et combien aujourd’hui ne possédons-nous pas de monnaies qui remontent beaucoup au-delà de six siècles ! Enfin toutes ces déductions peuvent encore s’appuyer d’un passage de Pomponius, où l’on voit qu’il existait à Rome un atelier monétaire longtemps avant l’année 485[17]. Je crois donc qu’on peut, avec beaucoup de vraisemblance, admettre qu’il a existé des deniers d’argent fondus à Rome, non seulement avant l’an 485, comme l’accorde du reste M. Bœckh, mais encore sous les trois derniers rois et notamment sous Servius. Mais quel était le poids de ce denier et combien en taillait-on dans la livre ? M. Bœckh, qui ne va pas jusqu’à croire à l’existence de la monnaie d’argent sous Servius, cherche, au moyen de la valeur de l’as, le rapport du cuivre avec l’argent pour cette époque. Il considère l’as libral de Servius comme valant une obole éginétique, c’est-à-dire 22 1/7 grains d’argent. Le cuivre était donc à l’argent comme 6144 à 22, ou à peu près comme 279 à 1[18]. En supposant avec nous un denier d’argent existant à cette époque, il aurait dû, d’après les données de M. Bœckh, être 1/28e de la livre et peser environ 220 grains d’argent. Le savant allemand adopte une autre proportion entre les deux métaux pour le temps écoulé depuis Servius jusqu’en 485. Ici il se base sur ce qu’il appelle le prétendu denier de Servius, qu’il croit avoir existé durant cet intervalle ; et il adopte pour le cuivre la valeur de 1/188e de l’argent. Mais il aurait dû s’apercevoir qu’à ce compte les Romains auraient fabriqué 38 pièces 2/10 dans une livre de métal, ce qui n’est nullement probable. Passons au premier denier d’argent frappé à Rome, cinq
années avant la première guerre punique. Personne ne peut nier que Rome n’ait
eu des monnaies d’argent au moins à partir de 485 ; or, à cette époque encore
l’as pesait une livre et le denier d’argent valait dix as ; MM. Letronne et
Bœckh sont d’accord sur ce point. De ce fait on peut conclure, ce me semble,
que le denier coulé du temps de Servius, ou tout au moins celui des temps
antérieurs à l’an 485, ne pouvait guère différer du denier frappé à cette
dernière époque. Mais celui-ci fut plus fort que le denier des époques
postérieures. Varron et Pline nous font connaître les parties aliquotes du
denier d’argent : c’étaient le quinarius
ou ½ denier = 5 as ou Quel était donc le poids du denier de l’an 485 ? Celui qui
avait cours du temps de Varron pesait 73 1/7e grains ; en ajoutant à ce
chiffre quatre scrupules ou 85 1/3 grains, nous aurons 158 ½ grains pour le denier de
Servius, qui n’est probablement pas différent de celui qu’on a frappé l’an M. Bœckh[22] résout la
question en cherchant l’origine elle-même de l’ancien denier romain. Il le
compare d’abord au didrachme attico-sicilien de 164,4 grains. Il fait
observer 1° que le mot nummus, qui à
Rome désigna successivement le didrachme attique et le denier romain, était
venu de Sicile[23]
; 2° que l’empreinte des premières monnaies romaines était, suivant le
témoignage des historiens, absolument semblable à celle des pièces siciliennes.
D’un autre côté, ce mot nummus était
aussi le nom de la pièce d’argent de 154 grains en usage dans la basse
Italie. Ces monnaies, qui n’étaient pas de pur style grec, puisqu’elles
portaient des lettres osques, pouvaient exister en abondance dans le trésor
de Rome depuis l’an 482, époque de la soumission de Tarente. D’après ces
données, M. Bœckh estime que le denier de l’an Si l’on demande pourquoi un seul de ces deniers ne s’est pas conservé jusqu’à nous, tandis que les deniers ordinaires de 73 1/7e grains sont si communs, nous répondrons avec Bœckh (p. 459) : 1° qu’on n’a monnayé que pendant fort peu de temps des pièces de ce poids élevé ; 2° que Rome, dans le principe, avant été forcée de s’adresser, pour monnayer l’argent,à des ouvriers étrangers, il existe peut-être encore dans les diverses collections quelques exemplaires du denier primitif romain, qu’on n’a point discernés, parce que leur style et leur empreinte les auront tait ranger dans des séries de monnaies étrangères à Rome et à l’Italie. Maintenant on peut se demander si, à aucune époque, les Romains ont dû tailler moins de 40 pièces dans une livre d’argent, et, quand on songe à leurs énormes monnaies de cuivre, on est tenté de répondre affirmativement. Mais il faut considérer que, les lingots étant en usage pour les grands paiements, de grosses monnaies d’argent ne leur offraient ni utilité ni profit. D’un autre côté, la pièce attribuée à Servius, et qui, dans tous les cas, est un denier fort ancien, pèse, à très peu près, 40 de la livre. il faut donc croire que, depuis les temps les plus éloignés jusqu’au commencement de la première guerre punique, on a fabriqué 4o deniers avec une livre d’argent, ce qui porte la valeur relative du cuivre à 1/400e. Nous pouvons donc regarder ce rapport de 1 à 400 comme celui de l’argent au cuivre, dans l’Italie romaine, pendant tout le temps qui a précédé la première guerre punique. Durant cette guerre commença dans les monnaies d’argent et dans les monnaies de cuivre une diminution simultanée, quoique dans un rapport différent, qu’il importe de faire connaître et d’apprécier. Vers la fin de la guerre, l’as,
dit Pline, qui était d’une livre, fut fait sextantaire,
c’est-à-dire réduit au sixième de sa valeur ou à D’un autre côté le denier d’argent avait singulièrement
diminué de poids. Lorsque l’as fut ainsi réduit à L’as ne tomba pas tout d’un coup d’une livre à deux onces,
quoique ce fait semble résulter du passage de Pline. Cet auteur n’a pas tout
dit, comme le remarque fort bien M. Letronne[25] ; il s’est
contenté de donner les extrêmes des réductions, car il existe une multitude
de médailles qui attestent des réductions intermédiaires entre les
principales[26].
On trouve des as bien conservés, ainsi que leurs divisions, indiquant des
réductions à 11, 10, 9, 8, 6, 5, 4, Le denier d’argent subit aussi des réductions successives, mais non proportionnées à celles q’u9éprouvala monnaie de cuivre. Nous avons trouvé que l’ancien denier, équivalant à 10 as d’une livre, valait 153,6 grains d’argent. M. Bœckh[28] fait connaître une j grande quantité de deniers romains et de divisions du denier, dont le style dénote bien, dit-il, l’époque de la première guerre punique, et qui présentent une progression décroissante depuis 144 jusqu’à 98 grains. Il existe même des pièces de 89 grains et au-dessous, que M. Bœckh écarte de sa liste, et qu’il regarde, à tort peut-être, comme des deniers de 84 à la livre. Ceux-ci devaient peser 73 1/7e grains, et c’est supposer les ouvriers trop inhabiles, et les règlements monétaires trop tolérants, que d’admettre un excédant en poids de 16 grains pour une seule pièce. Malheureusement les renseignements nous manquent complètement pour retrouver la liaison qui a dû exister entre la diminution simultanée des monnaies de cuivre et celle des monnaies d’argent. Par exemple, l’as de cuivre pesait trias probablement Trois ans après, comme nous l’avons dit, vers la fin de la
première guerre punique, le denier n’était plus que 1/84e de la livre ; il
valait 10 as de L’an de Rome 537, sous la dictature de Q. Fabius Maximus,
la gêne occasionnée par les désastres du commencement de la deuxième guerre
punique amena une nouvelle réduction de l’as ; il ne pesa plus qu’une once,
et ses rapports avec le denier furent aussi changés. Le denier valut 16 as au
lieu de 10 comme autrefois ; le quinaire, qui jusqu’alors avait été de 5 as,
en valut 8, et le sesterce 4. La république gagna, puisque l’as avait diminué
de moitié, 50% dans tous les paiements qu’elle fit en cuivre, et 20% dans les
paiements qu’elle fit en argent ; car le denier, qui auparavant valait Bientôt, ajoute Pline, par la loi Papiria, les as furent
réduits à ½ once ; mox lege Papiriana semunciales
asses facti. Mais à quelle époque se reporte ce mot vague et
indéterminé, mox ? On avait cru
d’abord pouvoir placer la réduction de l’as à ½ once dans la seconde moitié
du VIe siècle
: Pighi l’attribua à C. Papirius Tordus, tribun du peuple vers 575 ;
d’autres, M. Letronne entre autres, la fixèrent à l’an 569, et cette opinion
paraissait généralement adoptée. Eckel manifesta néanmoins quelques doutes
sur son exactitude, et en M. Bœckh n’a pas trouvé ce système assez bien établi. Il est certain, dit-il, qu’après la mort de Pompée, c’est-à-dire trois ans après l’époque où nous savons positivement qu’on a émis des as d’une demi-once, il a été frappé encore des as onciaux. Il pouvait donc avoir été fait une émission de pièces plus légères que l’as de M. Borghesi antérieurement à l’année 677. Le savant allemand tend à reculer encore la date de la loi Papiria, et il l’attribue à Cn. Papirius Carbo, consul en 669, 670 et 672. Il ignorait que de nouvelles et patientes recherches avaient conduit M. le comte Borghesi à une opinion qui se rapproche beaucoup de la sienne. L’as qu’il avait attribué d’abord au grand Pompée est une médaille consulaire dont la légende est Cnœus Maculnius Roma, au lieu de Cnœus Magnus Imperator, comme le porte à tort le catalogue de d’Ennery. Ainsi disparaît le seul obstacle qui s’opposât à ce qu’on pût placer la réduction semi-onciale dans les temps antérieurs au grand Pompée. Conséquemment, dit M. Borghesi, rien n’empêche désormais que la loi Papiria de Pline soit rapportée au temps de la guerre sociale, date que lui assignent une foule d’autres motifs, et qu’elle soit attribuée à C. Papirius Carbo, tribun du peuple en 665, auteur d’une autre loi connue sous le nom de loi Plautia Papiria[32]. La réduction de l’as ne fut pas la seule altération des
monnaies causée par les désastres de la guerre sociale. Deux ans avant cette
réduction, M. Livius Drusus avait altéré le denier d’argent en y introduisant
un huitième d’alliage, mais il ne paraît pas que cette altération ait été
durable et que le rapport de l’as au denier ait changé pour cela. La valeur
du cuivre, relativement à l’argent, fut donc (84 x 16) /24 = 56 ; mais ceci n’est plus
une valeur de marché, comme le font très bien remarquer MM. Letronne et Bœckh
; c’est une valeur arbitraire à laquelle on peut attacher d’autant moins
d’importance que l’as, depuis sa réduction à Le denier n’en subit pas moins encore diverses
altérations. Antoine mêla du fer aux monnaies d’argent ; on ignore dans
quelle proportion, mais nous voyons par les monuments que cet alliage ne fut
point permanent, car l’essayage des monnaies d’argent de diverses époques
présente constamment environ 960 de fin. La plus importante altération du
denier eut lieu dans son poids, puisqu’il devint peu à peu la 96e partie
de la livre. On ne connaît pas précisément l’époque où cette nouvelle
réduction eut lieu ; M. Letronne pense qu’elle existait déjà sous Vespasien[34]. M. le comte
Borghesi, dans une lettre manuscrite du |
[1] Pline, XXXIII, 13 ; XVIII, 3. Aurelius Victor, De viris illustr., c. 7. Ce dernier auteur est moins ancien, mais il a puisé certainement à des sources antiques. V. Bœckh, Metrologischen untersachungen. Berlin, 1838, p. 162. Cf. Cassiodore, Var., VII, 32.
[2] Hist. nat., XXXIV, 1. Cf. Bœckh, l. c.
[3] Dell’ œs grave dell’ museo Kircherieno ordinato ed illustrato dai PP. Giuseppe Marchi e Pietro Tessieri, della C. di G.
[4] Voy., sur l’ouvrage ci-dessus cité les articles de M. P. E. Visconti ; Giornale Arcadico, t. LXXIX, et de M. le comte G. Melchiorri, Bullet. Inst. archéol., 1839, p. 113-128.
[5] Varron, De re r., I, 20. Voy. l’ouvr. des PP. Marchi et Tesaieri, p. 2, 6 et 71, chap. dell’ arts con che sono modellate le monete della prima classe.
[6] De ling. Lat., IV. 36, éd. Gothofr.
[7] Apud Gronov. de Pec. vet. p. 88 t. Cf. Pline, XXXIII, 13.
[8] Pline, XXXIII, 13. Cf. Tite-Live, Épitomé XV, et Zonare, Annal., VIII, 7.
[9] Inst. Gramm., I, p. 81, éd. Putsch.
[10] Metrol. untersuch., p. 347, ss.
[11] In August., c. 75 : tantôt c'étaient des monnaies de toute espèce; il s'en trouvait d'anciennes du temps des rois et d'étrangères... Le mot regios était dans tous les Mss. de Casaubon et de Pitiscus.
[12] Apud Nonium, cap. XII, voc. Lateres.
[13] J’ai discuté ce fait dans un Mém., lu à l’Acad. des Inscr. en 1831, sur les nouv. fouilles exécutées à Vulci et à Tarquinies.
[14] Voy. Niebuhr sur le mot Vidua, t. II, p. 228, tr. fr. Javolenus, Digest. L, XVI, 242, de verbor. signific., dit : Viduam non esse solum eam quæ aliquando nupta fuisset, sed eam quoque mulierem quæ virum non habuisset. Modestinus ajoute, (ibid. leg. 101) : Adulterium in nuptam, stuprum in viduam committitur.
[15] Voyez les PP. Marchi et Tessieri, op. cit., p. 42, sur le Janus Bifrons, symbole de l’alliance entre les Romains et les Sabins, entre Romulus et Tatius, fait attesté par Servius, ad Æn., XII, 147, et les planches jointes à l’ouvrage des numismates que j’ai cités.
[16] Voy. ci-dessous, chap. du Cadastre.
[17] Pomponius Lætus, De magistr. Rom., p. 138, éd. Venet., 1568, et Digest. I, II, 2, § 30. Cf. Jacobs, t. I, p. 146.
[18] M. Bœckh dit : 270 à 1.
[19] Pline, XXXIII, 13. Varron, De Ling. lat., IV, 36. Cf. Volus. Mæcianus, supr., p. 68.
[20] Voy. Bœckh, Metrol. untersuch., p. 453, ss.
[21] C’est-à-dire qu’il eût été une fois plus petit que les quarts d’obole frappés dans l’Attique.
[22] Ouvrage cit., p. 452-459.
[23] Varron, De ling. lat., IV, 36.
[24] Letronne, Consid. gén., p. 18, et Bœckh, Metrol. untersuch., p. 452.
[25] Consid. gén., p. 25, 33.
[26] Voy. l’ouvrage cit. des PP. Marchi et Tessieri, l. c. et class. I. Tav. 1-12.
[27] Varron, De ling. lat., IV, 36. Bœckh, Metr. unters., p. 449.
[28] Ouvrage cité, p. 462-466.
[29] Pembroke, III, 128.
[30] Pline, XXXIII, 13.
[31] Giornale Arcadico, t. XIII, p. 73.
[32] Ce passage est
tiré d’une lettre manuscrite du comte Borghesi, en date de San Marino,
[33] Il est donc peu important de rechercher quel a pu être, postérieurement à cette époque, le rapport du cuivre à l’argent, d’autant plus que les renseignements se réduisent à quelques vagues indications se rapportant au Bas-Empire ; nous en parlerons dans les chapitres suivants.
[34] Consid. gén., p. 39, 40.